Donc, la foi naît du message que l’on entend, et ce message vient par la parole de Christ. | Ainsi la foi vient de ce qu'on entend et ce qu'on entend vient de la parole de Dieu. |
Puis, s’adressant à tous, il dit : Si quelqu’un veut me suivre, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge chaque jour de sa croix, et qu’il me suive. | Puis il dit à tous: «Si quelqu'un veut être mon disciple, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge chaque jour de sa croix et qu'il me suive.» |
Lui doit devenir de plus en plus grand, et moi de plus en plus petit. | Il faut qu'il grandisse et que moi, je diminue. |
La foi est une façon de posséder ce qu’on espère, c’est un moyen d’être sûr des réalités qu’on ne voit pas. | Or la foi, c'est la ferme assurance des choses qu'on espère, la démonstration de celles qu'on ne voit pas. |
Là-dessus, Jésus appela la foule ainsi que ses disciples et leur dit : Si quelqu’un veut me suivre, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix et qu’il me suive. | Puis il appela la foule avec ses disciples et il leur dit: «Si quelqu'un veut être mon disciple, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa croix et qu'il me suive!» |
Si quelqu’un prétend aimer Dieu tout en détestant son frère, c’est un menteur. Car s’il n’aime pas son frère qu’il voit, il ne peut pas aimer Dieu qu’il ne voit pas. | Si quelqu'un dit: «J’aime Dieu», alors qu'il déteste son frère, c'est un menteur. En effet, si quelqu’un n'aime pas son frère qu'il voit, comment peut-il aimer Dieu qu'il ne voit pas? |
Le dernier jour de la fête, le jour le plus solennel, Jésus se tint devant la foule et lança à pleine voix : Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi, et que celui qui croit en moi boive. | Le dernier jour, le grand jour de la fête, Jésus, debout, s'écria: «Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi et qu'il boive.» |
Si le monde a de la haine pour vous, sachez qu’il m’a haï avant vous. | Si le monde vous déteste, sachez qu'il m'a détesté avant vous. |
Heureux serez-vous quand les hommes vous insulteront et vous persécuteront, lorsqu’ils répandront toutes sortes de calomnies sur votre compte à cause de moi. | Heureux serez-vous lorsqu'on vous insultera, qu'on vous persécutera et qu'on dira faussement de vous toute sorte de mal à cause de moi. |
Quant à nous, nous aimons parce que Dieu nous a aimés le premier. | Quant à nous, nous l'aimons parce qu'il nous a aimés le premier. |
Car, Celui qui souhaite aimer la vie et voir des jours heureux qu’il veille sur sa langue |pour ne faire aucun mal, et pour qu’aucun propos menteur |ne passe sur ses lèvres. Qu’il fuie le mal |et fasse ce qui est bien ; qu’il recherche la paix |avec ténacité. | Si quelqu'un, en effet, veut aimer la vie et voir des jours heureux, qu'il préserve sa langue du mal et ses lèvres des paroles trompeuses, qu'il se détourne du mal et fasse le bien, qu'il recherche la paix et la poursuive. |
Celui qui obéit à ses commandements demeure en Dieu et Dieu demeure en lui. Et à quoi reconnaissons-nous qu’il demeure en nous ? De par l’Esprit qu’il nous a donné. | Celui qui garde ses commandements demeure en Dieu et Dieu demeure en lui; et nous reconnaissons qu'il demeure en nous à l'Esprit qu'il nous a donné. |
Il n’est plus ici, mais il est ressuscité. Rappelez-vous ce qu’il vous disait quand il était encore en Galilée : « Il faut que le Fils de l’homme soit livré entre les mains des pécheurs, qu’il soit crucifié, et qu’il ressuscite le troisième jour. » | Il n'est pas ici, mais il est ressuscité. Souvenez-vous de ce qu'il vous a dit, lorsqu'il était encore en Galilée: ‘Il faut que le Fils de l'homme soit livré entre les mains des pécheurs, qu'il soit crucifié et qu'il ressuscite le troisième jour.’ |
Pourtant, en vérité, |c’est de nos maladies |qu’il s’est chargé, et ce sont nos souffrances |qu’il a prises sur lui, alors que nous pensions |que Dieu l’avait puni, frappé et humilié. | Pourtant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, c'est de nos douleurs qu'il s'est chargé. Et nous, nous l'avons considéré comme puni, frappé par Dieu et humilié. |
Qui es-tu, toi, pour juger le serviteur d’un autre ? Qu’il tienne bon ou qu’il tombe, c’est l’affaire de son maître. Mais il tiendra bon car le Seigneur, son maître, a le pouvoir de le faire tenir. | Qui es-tu pour juger le serviteur d'un autre? Qu'il tienne bon ou qu'il tombe, cela regarde son seigneur. Mais il tiendra bon, car Dieu a le pouvoir de l'affermir. |
Tous ceux qui étaient devenus des croyants vivaient dans une parfaite unité de cœur et d’esprit. Personne ne se prétendait propriétaire de ses biens, mais ils partageaient tout ce qu’ils avaient. | La foule de ceux qui avaient cru n'était qu'un cœur et qu'une âme. Personne ne disait que ses biens lui appartenaient en propre, mais ils mettaient tout en commun. |
Un jour qu’ils adoraient ensemble le Seigneur et qu’ils jeûnaient, le Saint-Esprit leur dit : Mettez à part pour moi Barnabas et Saul pour l’œuvre à laquelle je les ai appelés. | Pendant qu'ils rendaient un culte au Seigneur et qu'ils jeûnaient, le Saint-Esprit dit: «Mettez-moi à part Barnabas et Saul pour la tâche à laquelle je les ai appelés.» |
Dieu n’est pas homme pour mentir, ni humain pour se repentir. A-t-il jamais parlé |sans qu’il tienne parole ? Et n’accomplit-il pas |ce qu’il a déclaré ? | Dieu n'est pas un homme pour mentir, ni le fils d'un homme pour revenir sur sa décision. Ce qu'il a dit, ne le fera-t-il pas? Ce qu'il a déclaré, ne l'accomplira-t-il pas? |
Que le coupable |abandonne sa voie, et l’homme malfaisant |ses mauvaises pensées ! Et qu’il revienne à l’Eternel qui aura compassion de lui, à notre Dieu qui lui accordera |un pardon généreux. | Que le méchant abandonne sa voie, et l'homme injuste ses pensées! Qu'il retourne à l'Eternel: il aura compassion de lui. Qu'il retourne à notre Dieu, car il pardonne abondamment. |
L’œuvre de Dieu, leur répondit Jésus, c’est que vous croyiez en celui qu’il a envoyé. | Jésus leur répondit: «L'œuvre de Dieu, c'est que vous croyiez en celui qu'il a envoyé.» |
Dites simplement « oui » si c’est oui, « non » si c’est non. Tous les serments qu’on y ajoute viennent du diable. | Que votre parole soit ‘oui’ pour oui, ‘non’ pour non; ce qu'on y ajoute vient du mal. |
Mieux vaut avoir peu et craindre Dieu que de posséder une grande fortune avec du tourment. | Mieux vaut peu avec la crainte de l'Eternel qu'un grand trésor avec le trouble. |
A tout travail il y a du profit, mais le bavardage mène au dénuement. | Tout travail procure un profit, mais les paroles en l'air ne mènent qu'à la misère. |
Ce qu’on apprécie chez un homme, c’est sa bonté, et mieux vaut un pauvre qu’un menteur. | Ce qui fait le charme d'un homme, c'est sa bonté. Mieux vaut un pauvre qu'un menteur. |
Les cadeaux ouvrent les chemins et font arriver jusqu’en présence des gens importants. | Les cadeaux qu'offre un homme lui ouvrent la voie et le conduisent auprès des grands. |