Qui ne sait pas se dominer est comme une ville démantelée qui n’a plus de remparts. | Une ville démantelée, sans murailles, voilà ce qu’est l'homme qui n'est pas maître de lui-même. |
L’insensé manifeste immédiatement son irritation, mais l’homme avisé sait ravaler un affront. | Un fou manifeste immédiatement sa colère, mais celui qui couvre un affront est un homme prudent. |
Le sot lui-même passe pour sage s’il sait se taire ; qui tient sa bouche close est intelligent. | Même le fou, quand il se tait, passe pour sage; celui qui ferme ses lèvres est un homme intelligent. |
Et Dieu qui scrute les cœurs sait ce vers quoi tend l’Esprit, car c’est en accord avec Dieu qu’il intercède pour les membres du peuple saint. | Et Dieu qui examine les cœurs sait quelle est la pensée de l'Esprit, parce que c'est en accord avec lui qu'il intercède en faveur des saints. |
La véritable foi en Dieu est, en effet, une source de richesse quand on sait être content avec ce qu’on a. | La piété est pourtant une grande source de profit quand on se contente de ce que l'on a. |
Ainsi le Seigneur sait comment délivrer de l’épreuve les personnes pieuses, et réserver ceux qui font le mal pour le jour du jugement où ils seront châtiés. | Ainsi donc, le Seigneur sait délivrer de l'épreuve les hommes pieux et garder les injustes pour le jour du jugement où ils seront punis. |
Il dévoile des choses |profondes et secrètes, il sait ce qu’il y a |dans les ténèbres, et la lumière brille auprès de lui. | C’est lui qui dévoile ce qui est profondément enfoui et caché, qui connaît ce qui est dans les ténèbres, et la lumière réside auprès de lui. |
Mais si quelqu’un croit être religieux, alors qu’il ne sait pas tenir sa langue en bride, il s’illusionne lui-même : sa religion ne vaut rien. | Si quelqu'un parmi vous croit être religieux alors qu’il ne tient pas sa langue en bride mais trompe son propre cœur, sa religion est sans valeur. |
Cependant, il sait bien |quelle voie j’ai suivie. S’il me met à l’épreuve, |je sortirai pur comme l’or. Car j’ai toujours suivi |la trace de ses pas. J’ai marché sur la voie |qu’il a prescrite, |je n’en ai pas dévié. | Il sait néanmoins quelle voie j'ai suivie. Quand il m’aura mis à l'épreuve, je sortirai pur comme l'or: mon pied s'est attaché à ses pas, j'ai gardé sa voie sans en dévier. |
Quel être humain peut savoir ce qui se passe dans un autre homme ? Seul l’esprit de cet homme en lui le sait. De même, nul ne peut connaître ce qui est en Dieu si ce n’est l’Esprit de Dieu. | En effet, qui parmi les hommes connaît les pensées de l’homme, si ce n'est l'esprit de l’homme qui est en lui? De même, personne ne peut connaître les pensées de Dieu, si ce n'est l'Esprit de Dieu. |
Dans toute la Judée, la Galilée et la Samarie, l’Eglise jouissait alors de la paix. Elle grandissait dans la foi, vivait dans l’obéissance au Seigneur, et s’accroissait en nombre, grâce au soutien du Saint-Esprit. | L'Eglise était en paix dans toute la Judée, la Galilée et la Samarie; elle s'édifiait, marchait dans la crainte du Seigneur et grandissait grâce à l'aide du Saint-Esprit. |
Oui, reprit Paul, Jean baptisait les Israélites en signe d’un profond changement, mais il leur disait aussi de croire en celui qui viendrait après lui, c’est-à-dire en Jésus. | Alors Paul dit: «Jean a baptisé du baptême de repentance, en disant au peuple de croire en celui qui venait après lui, c'est-à-dire en Jésus le Messie.» |
Jean portait un vêtement de poils de chameau maintenu autour de la taille par une ceinture de cuir. Il se nourrissait de sauterelles et de miel sauvage. | Jean portait un vêtement en poil de chameau et une ceinture de cuir autour de la taille. Il se nourrissait de sauterelles et de miel sauvage. |
Il réfléchissait à ce projet quand un ange du Seigneur lui apparut en rêve et lui dit : Joseph, descendant de David, ne crains pas de prendre Marie pour femme, car l’enfant qu’elle porte vient de l’Esprit Saint. | Comme il y pensait, un ange du Seigneur lui apparut dans un rêve et dit: «Joseph, descendant de David, n’aie pas peur de prendre Marie pour femme, car l'enfant qu’elle porte vient du Saint-Esprit.» |
L’homme désespéré |a droit à de la compassion |de la part d’un ami, oui, même s’il cessait de craindre |le Tout-Puissant. | Celui qui souffre a droit à la bienveillance de son ami, même s’il abandonne la crainte du Tout-Puissant. |
Jésus parcourait toute la Galilée, il enseignait dans les synagogues, proclamait la bonne nouvelle du royaume des cieux et guérissait les gens de toutes maladies et de toutes infirmités. | Jésus parcourait toute la Galilée; il enseignait dans les synagogues, proclamait la bonne nouvelle du royaume et guérissait toute maladie et toute infirmité parmi le peuple. |
Par la suite il les emmena hors de la ville jusqu’aux environs de Béthanie et là, élevant ses mains, il les bénit. Pendant qu’il les bénissait, il les quitta et fut enlevé au ciel. | Il les conduisit jusque vers Béthanie, puis il leva les mains et les bénit. Pendant qu'il les bénissait, il les quitta et fut enlevé au ciel. |
Et j’entendis alors le Seigneur qui disait : Qui enverrai-je ? Qui marchera pour nous ? Alors je répondis : Je suis prêt, envoie-moi. | J'ai entendu le Seigneur dire: «Qui vais-je envoyer et qui va marcher pour nous?» J’ai répondu: «Me voici, envoie-moi!» |
Quand le jour de la Pentecôte arriva, ils étaient tous rassemblés au même endroit. Tout à coup, un grand bruit survint du ciel : c’était comme si un violent coup de vent s’abattait sur eux et remplissait toute la maison où ils se trouvaient assis. | Quand le jour de la Pentecôte arriva, ils étaient tous ensemble au même endroit. Tout à coup il vint du ciel un bruit comme celui d'un vent violent, qui remplit toute la maison où ils étaient assis. |
Le collecteur d’impôts se tenait dans un coin retiré, et n’osait même pas lever les yeux au ciel. Mais il se frappait la poitrine et murmurait : « O Dieu, aie pitié du pécheur que je suis ! » | Le collecteur d’impôts, lui, se tenait à distance et n'osait même pas lever les yeux au ciel, mais il se frappait la poitrine en disant: ‘O Dieu, aie pitié de moi, qui suis un pécheur.’ |
Pendant qu’il parlait ainsi, une nuée lumineuse les enveloppa, et une voix en sortit qui disait : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, celui qui fait toute ma joie. Ecoutez-le ! | Comme il parlait encore, une nuée lumineuse les couvrit. De la nuée une voix fit entendre ces paroles: «Celui-ci est mon Fils bien-aimé, qui a toute mon approbation: écoutez-le!» |
Il n’est plus ici, mais il est ressuscité. Rappelez-vous ce qu’il vous disait quand il était encore en Galilée : « Il faut que le Fils de l’homme soit livré entre les mains des pécheurs, qu’il soit crucifié, et qu’il ressuscite le troisième jour. » | Il n'est pas ici, mais il est ressuscité. Souvenez-vous de ce qu'il vous a dit, lorsqu'il était encore en Galilée: ‘Il faut que le Fils de l'homme soit livré entre les mains des pécheurs, qu'il soit crucifié et qu'il ressuscite le troisième jour.’ |
Alors Jésus prit les cinq pains et les deux poissons, il leva les yeux vers le ciel et prononça la prière de bénédiction ; puis il les partagea et donna les morceaux à ses disciples pour qu’ils les distribuent à la foule. Tout le monde mangea à satiété. On ramassa les morceaux qui restaient ; cela faisait douze paniers. | Jésus prit les cinq pains et les deux poissons, leva les yeux vers le ciel et les bénit. Puis il les rompit et les donna aux disciples afin qu'ils les distribuent à la foule. Tous mangèrent et furent rassasiés, et l'on emporta douze paniers pleins des morceaux qui restaient. |
Et j’entendis une forte voix, venant du trône, qui disait : Voici la Tente de Dieu avec les hommes. Il habitera avec eux ; ils seront ses peuples et lui, Dieu avec eux , sera leur Dieu. Il essuiera toute larme de leurs yeux. La mort ne sera plus et il n’y aura plus ni deuil, ni plainte, ni souffrance. Car ce qui était autrefois a définitivement disparu. | J'entendis une voix forte venant du ciel qui disait: «Voici le tabernacle de Dieu parmi les hommes! Il habitera avec eux, ils seront son peuple et Dieu lui-même sera avec eux, il sera leur Dieu. Il essuiera toute larme de leurs yeux, la mort ne sera plus et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car ce qui existait avant a disparu.» |
Un jour de sabbat, Jésus traversait des champs de blé, et ses disciples, tout en marchant, cueillaient des épis. Les pharisiens le firent remarquer à Jésus : Regarde ! Pourquoi tes disciples font-ils le jour du sabbat ce qui est interdit ce jour-là ? Il leur répondit : N’avez-vous jamais lu ce qu’a fait David lorsque lui et ses compagnons ont eu faim et qu’ils n’avaient rien à manger ? Il est entré dans le sanctuaire de Dieu (ce récit se trouve dans la section où il est question du grand-prêtre Abiatar), il a mangé les pains exposés devant Dieu que seuls les prêtres ont le droit de manger, et il en a donné aussi à ses hommes. Et il ajouta : Le sabbat a été fait pour l’homme, et non pas l’homme pour le sabbat. C’est pourquoi le Fils de l’homme est aussi maître du sabbat. | Un jour de sabbat, Jésus traversait des champs de blé. Tout en marchant, ses disciples se mirent à arracher des épis. Les pharisiens lui dirent: «Regarde! Pourquoi font-ils ce qui n'est pas permis pendant le sabbat?» Jésus leur répondit: «N'avez-vous jamais lu ce qu’a fait David, lorsqu'il a été dans le besoin et qu'il a eu faim, lui et ses compagnons? Il est entré dans la maison de Dieu, à l’époque du grand-prêtre Abiathar, a mangé les pains consacrés qu'il n'est permis qu'aux prêtres de manger et en a même donné à ses compagnons!» Puis il leur dit: «Le sabbat a été fait pour l'homme, et non l'homme pour le sabbat, de sorte que le Fils de l'homme est le Seigneur même du sabbat.» |