Vous rendrez votre culte à l’Eternel votre Dieu. Alors je vous bénirai en vous donnant une nourriture excellente et de l’eau en abondance, et je vous préserverai des maladies.
Jésus, vous ne l’avez pas vu, et pourtant vous l’aimez ; mais en plaçant votre confiance en lui sans le voir encore, vous êtes remplis d’une joie glorieuse et inexprimable, car vous obtenez en retour votre salut qui est le but de votre foi.
Voilà que je m’en vais par le chemin que prend tout être humain. Reconnaissez de tout votre cœur et de tout votre être qu’aucune des promesses de bienfaits que l’Eternel votre Dieu vous a faites n’est restée sans effet : elles se sont toutes accomplies pour vous, sans exception aucune.
C’est pourquoi, tenez votre esprit en éveil et faites preuve de modération ; mettez toute votre espérance dans la grâce qui vous sera accordée le jour où Jésus-Christ apparaîtra.
Je vous donnerai un cœur nouveau et je mettrai en vous un esprit nouveau, j’enlèverai de votre être votre cœur de pierre et je vous donnerai un cœur de chair.
Dans votre cœur, reconnaissez le Seigneur – c’est-à-dire Christ – comme saint ; si l’on vous demande de justifier votre espérance, soyez toujours prêts à la défendre.
Seulement, veillez bien à appliquer le commandement et la Loi que Moïse, serviteur de l’Eternel, vous a transmis : aimez l’Eternel, votre Dieu ! Suivez tous les chemins qu’il a prescrits pour vous, obéissez à ses commandements, attachez-vous à lui et servez-le de tout votre cœur et de tout votre être !
Qu’il n’en soit pas ainsi parmi vous. Au contraire : si quelqu’un veut être grand parmi vous, qu’il soit votre serviteur, si quelqu’un veut être le premier parmi vous, qu’il soit votre esclave.
Je vous recommande donc, frères et sœurs, à cause de cette immense bonté de Dieu, à lui offrir votre corps comme un sacrifice vivant, saint et qui plaise à Dieu. Ce sera là de votre part un culte raisonnable.
Ne me retiens pas, lui dit Jésus, car je ne suis pas encore monté vers mon Père. Va plutôt trouver mes frères et dis-leur de ma part : Je monte vers mon Père qui est votre Père, vers mon Dieu qui est votre Dieu.
Que le Dieu de l’espérance, vous comble de toute joie et de sa paix par votre confiance en lui. Ainsi votre cœur débordera d’espérance par la puissance du Saint-Esprit.
Que l’amour et la fidélité ne te fassent jamais défaut ; attache-les autour de ton cou, grave-les sur les tablettes de ton cœur, et tu obtiendras la faveur de Dieu et des hommes, tu auras la réputation d’être un homme de bon sens.