C’est que je délivrais le malheureux qui appelait à l’aide et l'orphelin que personne ne secourait. Le mourant me bénissait, je remplissais de joie le cœur de la veuve.
C'est pourquoi je me plais dans les faiblesses, dans les insultes, dans les détresses, dans les persécutions, dans les angoisses pour Christ, car quand je suis faible, c'est alors que je suis fort.