Ensuite il prit du pain, remercia Dieu, le partagea en morceaux qu’il leur donna en disant : Ceci est mon corps qui est donné pour vous. Faites cela en souvenir de moi.
Au cours du repas, Jésus prit du pain puis, après avoir prononcé la prière de reconnaissance, il le partagea en morceaux, puis il les donna à ses disciples, en disant : Prenez, mangez, ceci est mon corps.
Mais moi je t’offrirai |un sacrifice |en disant ma reconnaissance, et je m’acquitterai |des vœux que j’ai formés, car c’est de l’Eternel |que vient la délivrance.
Ensuite il prit une coupe et, après avoir remercié Dieu, il la leur donna en disant : Buvez-en tous ; ceci est mon sang, par lequel est scellée l’alliance. Il va être versé pour beaucoup d’hommes, afin que leurs péchés soient pardonnés.
Dieu les bénit en disant : Soyez féconds, multipliez-vous, remplissez la terre, rendez-vous en maîtres, et dominez les poissons des mers, les oiseaux du ciel et tous les reptiles et les insectes.
Ils lui arrachèrent ses vêtements et le revêtirent d’un manteau écarlate. Ils lui posèrent sur la tête une couronne tressée de rameaux épineux ; dans sa main droite, ils placèrent un roseau en guise de sceptre. Ils s’agenouillèrent devant lui en disant sur un ton sarcastique : Salut, roi des Juifs !
Si ton frère s’est rendu coupable d’une faute, reprends-le et, s’il change d’attitude, pardonne-lui. Et même s’il se rend coupable à ton égard sept fois au cours de la même journée, et que sept fois il vienne te trouver en disant qu’il change d’attitude, pardonne-lui.
Ne faites pas comme vos ancêtres, que les prophètes d’autrefois ont exhortés en leur disant : « Voici ce que déclare le Seigneur des armées célestes : Abandonnez votre mauvaise conduite et renoncez à vos mauvaises actions. » Mais vos ancêtres n’ont pas écouté, ils n’ont pas prêté attention à mes paroles, l’Eternel le déclare.
Oui, reprit Paul, Jean baptisait les Israélites en signe d’un profond changement, mais il leur disait aussi de croire en celui qui viendrait après lui, c’est-à-dire en Jésus.
Le collecteur d’impôts se tenait dans un coin retiré, et n’osait même pas lever les yeux au ciel. Mais il se frappait la poitrine et murmurait : « O Dieu, aie pitié du pécheur que je suis ! »