C’est ainsi que Joseph, lui aussi, partit de Nazareth et monta de la Galilée en Judée, à Bethléhem, la ville de David : il appartenait, en effet, à la famille de David. Il s’y rendit pour se faire recenser avec Marie, sa fiancée, qui attendait un enfant.
Ce que vous avez appris et reçu de moi, ce que vous m’avez entendu dire et vu faire, mettez-le en pratique. Alors le Dieu qui donne la paix sera avec vous.
Pense à observer le jour du sabbat et fais-en un jour consacré à l’Eternel. Tu travailleras six jours pour faire tout ce que tu as à faire. Mais le septième jour est le jour du repos consacré à l’Eternel, ton Dieu ; tu ne feras aucun travail ce jour-là, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l’étranger qui réside chez toi ; car en six jours, l’Eternel a fait le ciel, la terre, la mer, et tout ce qui s’y trouve, mais le septième jour, il s’est reposé. C’est pourquoi l’Eternel a béni le jour du sabbat et en a fait un jour qui lui est consacré.
Cessons donc de nous condamner les uns les autres. Prenez plutôt la décision de ne rien mettre en travers du chemin d’un frère qui puisse le faire trébucher ou tomber.
Ainsi, puisque Dieu vous a choisis pour faire partie du peuple saint et qu’il vous aime, revêtez-vous d’ardente bonté, de bienveillance, d’humilité, de douceur, de patience.
Mes amis, ne vous vengez pas vous-mêmes, mais laissez agir la colère de Dieu, car il est écrit : C’est à moi qu’il appartient de faire justice ; c’est moi qui rendrai à chacun son dû.
Observe le jour du sabbat et fais-en un jour consacré à l’Eternel, comme l’Eternel ton Dieu te l’a commandé. Tu travailleras six jours pour faire tout ce que tu as à faire. Mais le septième jour est le jour du repos consacré à l’Eternel ton Dieu ; tu ne feras aucun travail ce jour-là, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bœuf, ni ton âne, ni tout ton bétail, ni l’étranger qui réside chez toi, afin que ton serviteur et ta servante se reposent comme toi.
Efforcez-vous de faire |ce qui est bien |et non ce qui est mal, et vous vivrez et qu’ainsi l’Eternel, |Dieu des armées célestes, |soit vraiment avec vous, ainsi que vous le prétendez.
Qui es-tu, toi, pour juger le serviteur d’un autre ? Qu’il tienne bon ou qu’il tombe, c’est l’affaire de son maître. Mais il tiendra bon car le Seigneur, son maître, a le pouvoir de le faire tenir.
Par conséquent, si quelqu’un n’obéit pas ne serait-ce qu’à un seul de ces commandements – même s’il s’agit du moindre d’entre eux – et s’il apprend aux autres à faire de même, il sera lui-même considéré comme « le moindre » dans le royaume des cieux. Au contraire, celui qui obéira à ces commandements et qui les enseignera aux autres, sera considéré comme grand dans le royaume des cieux.
Quel est le Dieu semblable à toi, qui efface les fautes |et qui pardonne les péchés du reste de ton peuple |qui t’appartient ? Toi, tu n’entretiens pas |ta colère à jamais, mais tu prends ton plaisir |à faire grâce.
Les coutumes des autres peuples |sont inutiles, leur dieu n’est que du bois |coupé dans la forêt, travaillé au ciseau |par la main d’un sculpteur. On l’embellit d’argent ou d’or, un marteau et des clous |le font tenir en place pour qu’il ne branle pas ! Ces dieux-là sont semblables |à des épouvantails |dans un champ de concombres : ils ne savent parler, il faut qu’on les transporte car ils ne marchent pas. Ne les craignez donc pas : ils ne font pas de mal ; et ils ne peuvent pas |non plus faire du bien.
Malheur à qui conteste |avec son créateur ! Qu’es-tu de plus qu’un pot de terre |parmi des pots de terre ? L’argile dira-t-elle |à celui qui la forme : « Qu’es-tu en train de faire ? » ou l’œuvre à son potier : |« Tu n’es qu’un maladroit ! » ?
Toute arme fabriquée |pour te faire du mal n’atteindra pas son but, et tu pourras confondre tous tes accusateurs |en jugement, car tel est l’apanage |des serviteurs de l’Eternel et c’est ainsi |que je leur fais justice, l’Eternel le déclare.
Aussi, ô Eternel, |nous espérons en toi ; sur les voies que tracent tes lois, oui, tout notre désir |vers toi se porte, nous voulons te garder |présent à la pensée.
Car, Celui qui souhaite aimer la vie et voir des jours heureux qu’il veille sur sa langue |pour ne faire aucun mal, et pour qu’aucun propos menteur |ne passe sur ses lèvres. Qu’il fuie le mal |et fasse ce qui est bien ; qu’il recherche la paix |avec ténacité.
Puis Esdras ajouta : A présent, allez faire un bon repas, buvez d’excellentes boissons et faites porter des portions à ceux qui n’ont rien préparé, car ce jour est un jour consacré à notre Seigneur. Ne vous affligez donc pas, car la joie que donne l’Eternel est votre force.
Mais ceux qui comptent |sur l’Eternel |renouvellent leur force : ils prennent leur envol |comme de jeunes aigles ; sans se lasser, ils courent, ils marchent en avant, |et ne s’épuisent pas.