J'ai combattu le bon combat, j'ai terminé la course, j'ai gardé la foi. Désormais, la couronne de justice m'est réservée. Le Seigneur, le juste juge, me la remettra ce jour-là, et non seulement à moi, mais aussi à tous ceux qui auront attendu avec amour sa venue.
En effet, c'est avec le cœur que l'on croit et parvient à la justice, et c'est avec la bouche que l'on affirme une conviction et parvient au salut, comme le dit l'Ecriture.
Lui qui a lui-même porté nos péchés dans son corps à la croix afin que, libérés du péché, nous vivions pour la justice. C’est par ses blessures que vous avez été guéris.
Cependant, l'Eternel n’attend que le moment de vous faire grâce, c’est pourquoi il se lèvera pour vous manifester sa compassion. En effet, l'Eternel est un Dieu d’équité. Heureux tous ceux qui comptent sur lui!
Ne formez pas un attelage disparate avec des incroyants. En effet, quelle relation y a-t-il entre la justice et le mal? Ou qu'y a-t-il de commun entre la lumière et les ténèbres?
Maintenant, moi, Nebucadnetsar, je célèbre la louange, la grandeur et la gloire du roi du ciel. Tous ses actes sont vrais, ses voies sont justes et il peut abaisser ceux qui marchent dans l’orgueil.
Certes, au premier abord, toute correction semble un sujet de tristesse, et non de joie, mais elle produit plus tard chez ceux qu’elle a ainsi exercés un fruit porteur de paix: la justice.
Alors Pierre prit la parole et dit: «En vérité, je reconnais que Dieu ne fait pas de favoritisme et que dans toute nation celui qui le craint et qui pratique la justice lui est agréable.»
Cherchez l'Eternel, vous, tous les humbles du pays, qui mettez ses règles en pratique! Recherchez la justice, recherchez l'humilité! Peut-être serez-vous épargnés, le jour de la colère de l'Eternel.
Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous la donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble pas et ne se laisse pas effrayer.