Ils avaient fixé au-dessus de la tête de Jésus un écriteau sur lequel était inscrit, comme motif de sa condamnation : « Celui-ci est Jésus, le roi des Juifs. »
Ensuite il prit une coupe et, après avoir remercié Dieu, il la leur donna en disant : Buvez-en tous ; ceci est mon sang, par lequel est scellée l’alliance. Il va être versé pour beaucoup d’hommes, afin que leurs péchés soient pardonnés.
Tenez donc ferme : ayez autour de la taille la vérité pour ceinture, et revêtez-vous de la droiture en guise de cuirasse. Ayez pour chaussures à vos pieds la disponibilité à servir l’Evangile de la paix. En toute circonstance, saisissez-vous de la foi comme d’un bouclier avec lequel vous pourrez éteindre toutes les flèches enflammées du diable.
Y a-t-il parmi vous quelqu’un de sage et d’expérimenté ? Qu’il en donne la preuve par sa bonne conduite, c’est-à-dire par des actes empreints de l’humilité qui caractérise la véritable sagesse.
En effet, vous n’avez pas reçu un Esprit qui fait de vous des esclaves et vous ramène à la crainte : non, vous avez reçu l’Esprit en conséquence de votre adoption par Dieu comme ses fils et ses filles. Car c’est par cet Esprit que nous crions : Abba, c’est-à-dire Père !
Frères et sœurs, je vous rappelle l’Evangile que je vous ai annoncé, que vous avez reçu et auquel vous demeurez attachés. C’est par cet Evangile que vous êtes sauvés si vous le retenez tel que je vous l’ai annoncé ; autrement vous auriez cru en vain.