- Pour sûr, c’est à Dieu seul |que, dans le calme, |je me remets :
mon salut vient de lui. - Celui qui vous appelle est fidèle et c’est lui qui accomplira tout cela.
- Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi, et moi je demeure en lui.
- L’Esprit Saint lui-même témoigne à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu.
- En effet, l’Ecriture dit :
Celui qui met en lui sa confiance |ne connaîtra jamais le déshonneur. - Votre Père céleste est parfait. Soyez donc parfaits comme lui.
- Pour sûr, lui seul est mon rocher, |et mon Sauveur,
ma forteresse, |je ne serai pas ébranlé. - Ce jour-là, il donnera à chacun ce que lui auront valu ses actes.
- Et il y en a un second qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même.
- Que le mari accorde à sa femme ce qu’il lui doit et que la femme agisse de même envers son mari. Car le corps de la femme ne lui appartient plus, il est à son mari. De même, le corps du mari ne lui appartient plus, il est à sa femme.
- Or, sans la foi, il est impossible de lui être agréable. Car celui qui s’approche de Dieu doit croire qu’il existe et qu’il récompense ceux qui se tournent vers lui.
- L’un de vous est-il malade ? Qu’il appelle les responsables de l’Eglise, qui prieront pour lui, après lui avoir fait une onction d’huile au nom du Seigneur. La prière faite avec foi obtiendra la guérison du malade et le Seigneur le relèvera. S’il a commis quelque péché, il lui sera pardonné.
- C’est pourquoi le Seigneur vous donnera lui-même un signe : Voici, la jeune fille sera enceinte et elle enfantera un fils, elle lui donnera pour nom : Emmanuel (Dieu avec nous).
- Lui doit devenir de plus en plus grand, et moi de plus en plus petit.
- Celui qui met sa confiance en lui n’est pas condamné, mais celui qui n’a pas foi en lui est déjà condamné, car il n’a pas mis sa confiance en la personne du Fils unique de Dieu.
- Elle donnera naissance à un fils, tu l’appelleras Jésus. C’est lui, en effet, qui sauvera son peuple de ses péchés.
- Qui est ce Roi glorieux ?
Le Seigneur des armées célestes,
c’est lui le Roi glorieux.
Pause - Alors Pierre s’approcha de Jésus et lui demanda : Seigneur, si mon frère se rend coupable à mon égard, combien de fois devrai-je lui pardonner ? Irai-je jusqu’à sept fois ?
– Non, lui répondit Jésus, je ne te dis pas d’aller jusqu’à sept fois, mais jusqu’à soixante-dix fois sept fois. - Il s’est livré lui-même pour nous, afin de nous délivrer de toute désobéissance et de faire de nous, en nous purifiant ainsi, un peuple qui lui appartienne et qui mette toute son ardeur à accomplir des œuvres bonnes.
- Pour sûr, lui seul est mon rocher, |et mon Sauveur ;
il est ma forteresse : |je ne serai pas ébranlé. - Goûtez et constatez |que l’Eternel est bon !
Oui, heureux l’homme |qui trouve son refuge en lui. - Qui répand la bénédiction connaîtra l’abondance ;
qui donne à boire aux autres sera lui-même désaltéré. - Car c’est en lui, c’est dans son corps, qu’habite toute la plénitude de ce qui est en Dieu. Et par votre union avec lui, vous êtes pleinement comblés, car il est le chef de toute Autorité et de toute Puissance.
- Je me dis : Qu’est-ce que l’homme, |pour que tu en prennes soin,
et qu’est-ce qu’un être humain |pour qu’à lui tu t’intéresses ? - Tournez-vous donc vers l’Eternel,
tant qu’on peut le trouver.
Adressez-vous à lui
tant qu’il est proche !
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