Très bien, lui dit son maître, tu es un bon serviteur, en qui l’on peut avoir confiance. Tu t’es montré fidèle en peu de choses. C’est pourquoi je t’en confierai de plus importantes. Viens partager la joie de ton maître !
Qui es-tu, toi, pour juger le serviteur d’un autre ? Qu’il tienne bon ou qu’il tombe, c’est l’affaire de son maître. Mais il tiendra bon car le Seigneur, son maître, a le pouvoir de le faire tenir.
Car ses désirs sont diamétralement opposés à ceux de l’Esprit ; et l’Esprit a des désirs qui s’opposent à ceux de l’homme livré à lui-même. Les deux sont opposés l’un à l’autre, c’est pourquoi vous ne pouvez pas être votre propre maître.
Mais celui qui n’aura pas su ce que son maître voulait, et qui aura commis des actes méritant une punition, celui-là subira un châtiment peu rigoureux. Si quelqu’un a beaucoup reçu, on exigera beaucoup de lui ; et plus on vous aura confié, plus on demandera de vous.
Quel que soit votre travail, faites-le de tout votre cœur, et cela comme pour le Seigneur et non pour des hommes. Car vous savez que vous recevrez du Seigneur, comme récompense, l’héritage qu’il réserve au peuple de Dieu. Le Maître que vous servez, c’est Christ.
Voici le message que l’Eternel adresse à Zorobabel : Cette œuvre, vous ne l’accomplirez |ni par votre bravoure |ni par la force, mais par mon Esprit, le Seigneur des armées célestes le déclare.
Au jour où j’agirai, déclare l’Eternel, le Seigneur des armées célestes, ces gens m’appartiendront et me seront précieux. J’aurai compassion d’eux tout comme un père a de la compassion pour un fils qui le sert.
Un jour de sabbat, Jésus traversait des champs de blé, et ses disciples, tout en marchant, cueillaient des épis. Les pharisiens le firent remarquer à Jésus : Regarde ! Pourquoi tes disciples font-ils le jour du sabbat ce qui est interdit ce jour-là ? Il leur répondit : N’avez-vous jamais lu ce qu’a fait David lorsque lui et ses compagnons ont eu faim et qu’ils n’avaient rien à manger ? Il est entré dans le sanctuaire de Dieu (ce récit se trouve dans la section où il est question du grand-prêtre Abiatar), il a mangé les pains exposés devant Dieu que seuls les prêtres ont le droit de manger, et il en a donné aussi à ses hommes. Et il ajouta : Le sabbat a été fait pour l’homme, et non pas l’homme pour le sabbat. C’est pourquoi le Fils de l’homme est aussi maître du sabbat.
Si vous n’écoutez pas, si vous ne prenez pas à cœur de m’honorer, dit l’Eternel, le Seigneur des armées célestes, alors j’enverrai la malédiction contre vous. Et vos bénédictions, j’en ferai des malédictions. Oui, j’en fais des malédictions car aucun, parmi vous, ne prend à cœur de m’honorer.
Que le mari accorde à sa femme ce qu’il lui doit et que la femme agisse de même envers son mari. Car le corps de la femme ne lui appartient plus, il est à son mari. De même, le corps du mari ne lui appartient plus, il est à sa femme.
Ne faites pas comme vos ancêtres, que les prophètes d’autrefois ont exhortés en leur disant : « Voici ce que déclare le Seigneur des armées célestes : Abandonnez votre mauvaise conduite et renoncez à vos mauvaises actions. » Mais vos ancêtres n’ont pas écouté, ils n’ont pas prêté attention à mes paroles, l’Eternel le déclare.
Voici ce que déclare le Seigneur des armées célestes : Rendez des jugements conformes à la vérité, agissez les uns envers les autres avec amour et compassion. N’exploitez pas la veuve et l’orphelin, ni l’immigré et les démunis, et ne tramez aucun mal les uns contre les autres.
Apportez donc vos dîmes dans leur totalité au trésor du Temple pour qu’il y ait des vivres dans ma demeure ! De cette façon-là, mettez-moi à l’épreuve, déclare l’Eternel, le Seigneur des armées célestes : alors vous verrez bien si, de mon côté, je n’ouvre pas pour vous les écluses des cieux, et ne vous comble pas avec surabondance de ma bénédiction.