Au contraire, la sagesse qui vient d’en haut est en premier lieu pure ; de plus, elle aime la paix, elle est modérée et conciliante, pleine de compassion ; elle produit beaucoup de bons fruits, elle est sans parti pris et sans hypocrisie.
Il a pris nos péchés sur lui et les a portés dans son corps, sur la croix, afin qu’étant morts pour le péché, nous menions une vie juste. Oui, c’est par ses blessures que vous avez été guéris.
Dieu accorde aux gens seuls |une famille. Il donne aux prisonniers |de sortir libres, dans la joie. Seuls les rebelles |sont confinés |dans un désert aride.
Mais vous, vous êtes un peuple élu, une communauté de rois-prêtres, une nation sainte, un peuple que Dieu a pris pour sien, pour que vous célébriez bien haut les œuvres merveilleuses de celui qui vous a appelés à passer des ténèbres à son admirable lumière.
Mais voici le verdict de l’Ecriture : l’humanité entière se trouve prisonnière de sa culpabilité devant Dieu afin que le don promis par Dieu soit accordé aux croyants au moyen de leur foi en Jésus-Christ.
Mais quand ils le virent marcher ainsi sur l’eau, ils crurent que c’était un fantôme et se mirent à pousser des cris. En effet, tous l’avaient aperçu et étaient pris de panique. Aussitôt, il se mit à leur parler : Rassurez-vous, leur dit-il, c’est moi, n’ayez pas peur !
Et veillons les uns sur les autres pour nous encourager mutuellement à l’amour et à la pratique du bien. Ne délaissons pas nos réunions, comme certains en ont pris l’habitude. Au contraire, encourageons-nous mutuellement, et cela d’autant plus que vous voyez se rapprocher le jour du Seigneur.
Lui qui était de condition divine, ne chercha pas à profiter de l’égalité avec Dieu, mais il s’est dépouillé lui-même, et il a pris la condition d’un serviteur en se rendant semblable aux hommes : se trouvant ainsi reconnu à son aspect, comme un simple homme, il s’abaissa lui-même en devenant obéissant, jusqu’à subir la mort, oui, la mort sur la croix.
L’Esprit de l’Eternel, |du Seigneur, est sur moi car l’Eternel m’a oint pour annoncer aux humiliés |une bonne nouvelle. Oui, il m’a envoyé |afin de panser ceux |qui ont le cœur brisé, d’annoncer aux captifs |leur délivrance et à ceux qui sont prisonniers |leur mise en liberté.
L’Eternel Dieu forma une femme de la côte qu’il avait prise de l’homme, et il l’amena à l’homme. Alors l’homme s’écria : Voici bien cette fois celle qui est os de mes os, chair de ma chair. On la nommera « Femme » car elle a été prise de l’homme. C’est pourquoi l’homme laissera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, et les deux ne feront plus qu’un.
Pourtant, en vérité, |c’est de nos maladies |qu’il s’est chargé, et ce sont nos souffrances |qu’il a prises sur lui, alors que nous pensions |que Dieu l’avait puni, frappé et humilié.
Heureux et saints ceux qui ont part à la première résurrection. La seconde mort n’a pas prise sur eux. Ils seront prêtres de Dieu et de Christ, et ils régneront avec lui pendant les mille ans.
Un jour de sabbat, Jésus enseignait dans une synagogue. Il s’y trouvait une femme qui, depuis dix-huit ans, était sous l’emprise d’un esprit qui la rendait infirme : elle était voûtée et n’arrivait absolument pas à se redresser. Lorsque Jésus la vit, il l’appela et lui dit : Femme, tu es délivrée de ton infirmité ! Il posa ses mains sur elle et, immédiatement, elle se redressa et se mit à louer Dieu. Mais le responsable de la synagogue fut fâché que Jésus ait fait cette guérison le jour du sabbat. S’adressant à la foule, il lui dit : Il y a six jours pour travailler : venez donc vous faire guérir ces jours-là, mais pas le jour du sabbat ! Le Seigneur lui répondit : Hypocrites que vous êtes ! Chacun de vous ne détache-t-il pas son bœuf ou son âne de la mangeoire pour le mener à l’abreuvoir le jour du sabbat ? Et cette femme, qui est une fille d’Abraham, et que Satan tenait en son pouvoir depuis dix-huit ans, fallait-il ne pas la délivrer de sa chaîne aujourd’hui parce que c’est le jour du sabbat ? Cette réponse de Jésus remplit de confusion tous ceux qui avaient pris parti contre lui, tandis que le peuple était enthousiasmé de le voir accomplir tant d’œuvres merveilleuses.
L’Esprit du Seigneur est sur moi car il m’a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres. Il m’a envoyé |pour annoncer aux captifs la délivrance, aux aveugles le recouvrement de la vue, pour apporter la liberté aux opprimés.
O Eternel, tu es mon Dieu, je te glorifierai |et je louerai ton nom car tu as accompli |des projets merveilleux, conçus de longue date, |sûrs et fiables.
Car le figuier |ne bourgeonnera plus, et il n’y aura plus |de raisins dans les vignes, le fruit de l’olivier |trompera les espoirs, les champs ne produiront |plus de pain à manger. Les moutons et les chèvres |disparaîtront de leurs enclos, et les bovins de leurs étables. Mais moi, c’est à cause de l’Eternel |que je veux me réjouir, j’exulterai de joie |à cause du Dieu qui me sauve.