Rendez à chacun ce qui lui est dû: l'impôt à qui vous devez l'impôt, la taxe à qui vous devez la taxe, le respect à qui vous devez le respect, l'honneur à qui vous devez l'honneur.
Ne rendez pas le mal pour le mal, ni l’insulte pour l’insulte; bénissez au contraire. Vous le savez, c’est à cela que vous avez été appelés afin d'hériter de la bénédiction.
En effet, Dieu n'est pas injuste pour oublier votre œuvre et le travail de votre amour. Vous avez démontré votre amour pour son nom par les services que vous avez rendus et que vous rendez encore aux saints.
Voici ce que disait l'Eternel, le maître de l’univers: ‘Rendez la justice conformément à la vérité et agissez l'un envers l'autre avec bonté et compassion. N'opprimez pas la veuve et l'orphelin, l'étranger et le pauvre, et ne méditez pas l'un contre l'autre le mal dans votre cœur.’
Ne le savez-vous pas? Votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en vous et que vous avez reçu de Dieu. Vous ne vous appartenez pas à vous-mêmes, car vous avez été rachetés à un grand prix. Rendez donc gloire à Dieu dans votre corps et dans votre esprit qui appartiennent à Dieu.
Dieu les bénit et leur dit: «Reproduisez-vous, devenez nombreux, remplissez la terre et soumettez-la! Dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel et sur tout animal qui se déplace sur la terre!»
En effet, je te prescris aujourd'hui d'aimer l'Eternel, ton Dieu, de marcher dans ses voies et de respecter ses commandements, ses prescriptions et ses règles afin de vivre et de te multiplier, afin que l'Eternel, ton Dieu, te bénisse dans le pays dont tu vas entrer en possession.
Si vraiment vous corrigez votre conduite et votre manière d’agir, si vraiment vous faites justice aux uns et aux autres, si vous n’exploitez pas l'étranger, l'orphelin et la veuve, si vous ne versez pas le sang innocent dans cet endroit et si vous ne vous tournez pas vers d'autres dieux pour votre malheur, alors je vous laisserai habiter ici, dans ce pays que j'ai donné à vos ancêtres depuis toujours et pour toujours.
Qui suis-je, en effet, et qui est mon peuple, pour que nous puissions te faire ces offrandes volontaires? Oui, tout vient de toi et nous recevons de ta main ce que nous t'offrons.