Car si nous avons été unis à lui par une mort semblable à la sienne, nous le serons aussi par une résurrection semblable à la sienne. Comprenons donc que l’homme que nous étions autrefois a été crucifié avec Christ afin que le péché dans ce qui fait sa force soit réduit à l’impuissance et que nous ne soyons plus esclaves du péché.
Quel est le Dieu semblable à toi, qui efface les fautes |et qui pardonne les péchés du reste de ton peuple |qui t’appartient ? Toi, tu n’entretiens pas |ta colère à jamais, mais tu prends ton plaisir |à faire grâce.
Il en sera ainsi |jusqu’à ce que l’Esprit |soit répandu sur nous d’en haut, et alors le désert |deviendra un verger, et le verger sera |semblable à la forêt.
C’est ainsi que je pourrai connaître Christ, c’est-à-dire expérimenter la puissance de sa résurrection et avoir part à ses souffrances, en devenant semblable à lui jusque dans sa mort.
Il était méprisé, |abandonné des hommes, un homme de douleur habitué à la souffrance. Oui, il était semblable |à ceux devant lesquels |on détourne les yeux. Il était méprisé, et nous n’avons fait de lui aucun cas.
Lui qui était de condition divine, ne chercha pas à profiter de l’égalité avec Dieu, mais il s’est dépouillé lui-même, et il a pris la condition d’un serviteur en se rendant semblable aux hommes : se trouvant ainsi reconnu à son aspect, comme un simple homme, il s’abaissa lui-même en devenant obéissant, jusqu’à subir la mort, oui, la mort sur la croix.
Que tu es grand, Eternel Dieu ! Il n’y a personne comme toi, il n’existe pas d’autre Dieu que toi, c’est vraiment comme tout ce que nous avons entendu dire.
L’homme à la conduite intègre : |il pratique la justice, et il dit la vérité |qu’il pense au fond de son cœur, il ne calomnie pas son prochain, il ne lui fait aucun mal, et il ne s’associe pas |à ce qui déprécierait ses proches.
Mes chers amis, dès à présent nous sommes enfants de Dieu et ce que nous serons un jour n’a pas encore été rendu manifeste. Nous savons que lorsque Christ paraîtra, nous serons semblables à lui, car nous le verrons tel qu’il est. Tous ceux qui fondent sur Christ une telle espérance se rendent eux-mêmes purs, tout comme Christ est pur.
L’Eternel, le Seigneur, |c’est lui ma force : il rend mes pieds pareils |à ceux des biches, il me fait cheminer |sur les lieux élevés. Pour le chef des musiciens. A chanter avec accompagnement d’instruments à cordes.
Les coutumes des autres peuples |sont inutiles, leur dieu n’est que du bois |coupé dans la forêt, travaillé au ciseau |par la main d’un sculpteur. On l’embellit d’argent ou d’or, un marteau et des clous |le font tenir en place pour qu’il ne branle pas ! Ces dieux-là sont semblables |à des épouvantails |dans un champ de concombres : ils ne savent parler, il faut qu’on les transporte car ils ne marchent pas. Ne les craignez donc pas : ils ne font pas de mal ; et ils ne peuvent pas |non plus faire du bien.
Tout le monde voit bien ce qui procède de l’homme livré à lui-même : l’immoralité, les pratiques dégradantes et la débauche, l’adoration des idoles et la magie, les haines, les querelles, la jalousie, les accès de colère, les rivalités, les dissensions, les divisions, l’envie, l’ivrognerie, les orgies et autres choses de ce genre. Je ne puis que répéter ce que j’ai déjà déclaré à ce sujet : ceux qui commettent de telles actions n’auront aucune part à l’héritage du royaume de Dieu.