Il y a un seul corps et un seul Esprit ; de même, Dieu vous a fait venir à lui en vous donnant une seule espérance : celle à laquelle vous avez été appelés.
De même, Christ s’est offert une seule fois en sacrifice pour porter les péchés de beaucoup d’hommes. Et il viendra une seconde fois, non plus pour ôter les péchés, mais pour sauver ceux qui attendent de lui leur salut.
En effet, des commandements comme : Tu ne commettras pas d’adultère ; tu ne commettras pas de meurtre ; tu ne voleras pas, tu ne convoiteras pas ; et tous les autres, se trouvent récapitulés en cette seule parole : Aime ton prochain comme toi-même.
Et si vous faites du bien seulement à ceux qui vous en font, pourquoi vous attendriez-vous à de la reconnaissance ? Les pécheurs n’agissent-ils pas de même ?
Cette Bonne Nouvelle du royaume de Dieu sera proclamée dans le monde entier pour que tous les peuples en entendent le témoignage. Alors seulement viendra la fin.
Car personne ne sera déclaré juste devant lui parce qu’il aura accompli les œuvres demandées par la Loi. En effet, la Loi produit seulement la connaissance du péché.
Si seulement ils pouvaient garder ces mêmes dispositions à me craindre et à suivre tous les jours tous mes commandements, afin qu’eux et leurs descendants soient heureux pour toujours.
Oui, mes frères et sœurs, vous avez été appelés à la liberté. Seulement, ne faites pas de cette liberté un prétexte pour vivre comme des hommes livrés à eux-mêmes. Au contraire, par amour, mettez-vous au service les uns des autres.
Que dire maintenant ? La Loi se confond-elle avec le péché ? Loin de là ! Seulement, s’il n’y avait pas eu la Loi, je n’aurais pas connu le péché, et je n’aurais pas su ce qu’est la convoitise si la Loi n’avait pas dit : Tu ne convoiteras pas.
Vraiment, je vous l’assure, répondit Jésus, si vous avez la foi, si vous ne doutez pas, non seulement vous pourrez accomplir ce que j’ai fait à ce figuier, mais même si vous dites à cette colline : « Soulève-toi de là et jette-toi dans la mer », cela se fera.
J’ai combattu le bon combat. J’ai achevé ma course. J’ai gardé la foi. Telle une couronne, la justice que Dieu accorde est déjà préparée pour moi. Le Seigneur, le juste Juge, me la remettra au jour du jugement, et pas seulement à moi, mais à tous ceux qui, avec amour, attendent sa venue.
Oui, il t’a fait connaître la pauvreté et la faim, et il t’a nourri avec cette manne que tu ne connaissais pas et que tes ancêtres n’avaient pas connue. De cette manière, il voulait t’apprendre que l’homme ne vit pas seulement de pain, mais aussi de toute parole prononcée par l’Eternel.
Oui, vraiment, je vous l’assure : tant que le ciel et la terre resteront en place, ni la plus petite lettre de la Loi, ni même un point sur un i n’en sera supprimé jusqu’à ce que tout se réalise.
Seulement, veillez bien à appliquer le commandement et la Loi que Moïse, serviteur de l’Eternel, vous a transmis : aimez l’Eternel, votre Dieu ! Suivez tous les chemins qu’il a prescrits pour vous, obéissez à ses commandements, attachez-vous à lui et servez-le de tout votre cœur et de tout votre être !
Que le Seigneur vous remplisse, jusqu’à en déborder, d’amour les uns pour les autres et envers tous les hommes, à l’exemple de l’amour que nous vous portons.