Moi, je suis le pain vivant descendu du ciel : si quelqu’un mange de ce pain-là, il vivra éternellement. Le pain que je donnerai pour que le monde vive, c’est mon propre corps.
Et nous ne portons pas notre attention sur les choses visibles, mais sur les réalités encore invisibles. Car les réalités visibles ne durent qu’un temps, mais les invisibles demeureront éternellement.
Car le salaire que verse le péché, c’est la mort, mais le don de la grâce que Dieu accorde, c’est la vie éternelle dans l’union avec Jésus-Christ notre Seigneur.
Qui place sa confiance dans le Fils possède la vie éternelle. Qui ne met pas sa confiance dans le Fils ne connaît pas la vie ; il reste sous le coup de la colère de Dieu.
Pour que, comme le péché a régné par la mort, de même la grâce règne par la justice que Dieu accorde et qui aboutit à la vie éternelle par Jésus-Christ notre Seigneur.
Mais maintenant, affranchis du péché et devenus esclaves de Dieu, le fruit que vous portez, c’est une vie sainte, et le résultat auquel vous aboutissez, c’est la vie éternelle.
Oui, Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils, son unique, pour que tous ceux qui placent leur confiance en lui échappent à la perdition et qu’ils aient la vie éternelle.
Car, depuis la création du monde, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité se voient dans ses œuvres quand on y réfléchit. Ils n’ont donc aucune excuse.
Combats le bon combat de la foi, saisis la vie éternelle que Dieu t’a appelé à connaître et au sujet de laquelle tu as fait cette belle profession de foi en présence de nombreux témoins.
Mais celui qui boira de l’eau que je lui donnerai n’aura plus jamais soif. Bien plus : l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une source intarissable qui jaillira jusque dans la vie éternelle.
Puis il dit : Voici que l’homme est devenu comme l’un de nous pour décider du bien et du mal. Maintenant il ne faudrait pas qu’il tende la main pour cueillir aussi du fruit de l’arbre de la vie, qu’il en mange et qu’il vive éternellement. Alors l’Eternel Dieu le chassa du jardin d’Eden pour qu’il travaille le sol d’où il avait été tiré.
Mais Dieu a été compatissant envers moi pour cette raison : Jésus-Christ a voulu, en moi, l’exemple type des pécheurs, montrer toute l’étendue de sa patience, pour que je serve d’exemple à ceux qui croiraient en lui pour accéder à la vie éternelle.
Car voici ce que dit |le Dieu très élevé qui demeure éternellement, et qui est saint : J’habite dans un lieu |qui est très haut et saint, mais je demeure aussi |avec l’homme accablé, à l’esprit abattu, pour ranimer la vie |de qui a l’esprit abattu et vivifier le cœur |des hommes accablés.
Que tu es grand, Eternel Dieu ! Il n’y a personne comme toi, il n’existe pas d’autre Dieu que toi, c’est vraiment comme tout ce que nous avons entendu dire.
Car le figuier |ne bourgeonnera plus, et il n’y aura plus |de raisins dans les vignes, le fruit de l’olivier |trompera les espoirs, les champs ne produiront |plus de pain à manger. Les moutons et les chèvres |disparaîtront de leurs enclos, et les bovins de leurs étables. Mais moi, c’est à cause de l’Eternel |que je veux me réjouir, j’exulterai de joie |à cause du Dieu qui me sauve.