Que le Seigneur, |notre Dieu, nous accorde sa faveur ! Fais prospérer pour nous |l’ouvrage de nos mains ! Oh oui ! fais prospérer |l’ouvrage de nos mains !
Enseigne-moi, ô Eternel, |la voie que tu veux que je suive, et je me conduirai |selon ta vérité. Accorde-moi un cœur |tel qu’il te craigne sans partage.
Dieu accorde aux gens seuls |une famille. Il donne aux prisonniers |de sortir libres, dans la joie. Seuls les rebelles |sont confinés |dans un désert aride.
L’ange lui dit alors : N’aie pas peur, Marie, car Dieu t’a accordé sa faveur. Voici : bientôt tu seras enceinte et tu mettras au monde un fils ; tu le nommeras Jésus.
Car le salaire que verse le péché, c’est la mort, mais le don de la grâce que Dieu accorde, c’est la vie éternelle dans l’union avec Jésus-Christ notre Seigneur.
Pour que, comme le péché a régné par la mort, de même la grâce règne par la justice que Dieu accorde et qui aboutit à la vie éternelle par Jésus-Christ notre Seigneur.
Celui qui était innocent de tout péché, Dieu l’a condamné comme un pécheur à notre place pour que, dans l’union avec Christ, nous recevions la justice que Dieu accorde.
En effet, cet Evangile nous révèle en quoi consiste la justice que Dieu accorde : elle est reçue par la foi et rien que par la foi, comme il est dit dans l’Ecriture : Le juste vivra grâce à la foi.
Et l’Eternel notre Dieu nous a ordonné d’appliquer toutes ces lois et de le craindre ainsi, afin que nous soyons toujours heureux et qu’il nous accorde de vivre comme il l’a fait jusqu’à ce jour.
Mais voici le verdict de l’Ecriture : l’humanité entière se trouve prisonnière de sa culpabilité devant Dieu afin que le don promis par Dieu soit accordé aux croyants au moyen de leur foi en Jésus-Christ.
En effet, si Dieu donne à un homme des richesses et des biens, et s’il lui accorde la possibilité d’en profiter, d’en retirer sa part et de trouver de la joie au milieu de son labeur, c’est un don de Dieu.
Travaillez, non pour la nourriture périssable, mais pour celle qui dure pour la vie éternelle. Cette nourriture, c’est le Fils de l’homme qui vous la donnera, car Dieu le Père lui en a accordé le pouvoir en le marquant de son sceau.
Ma vie m’importe peu, je ne lui accorde aucun prix ; mon but c’est d’aller jusqu’au bout de ma course et d’accomplir pleinement le service que le Seigneur m’a confié c’est-à-dire de proclamer l’Evangile, ce message de la grâce de Dieu.
Que le mari accorde à sa femme ce qu’il lui doit et que la femme agisse de même envers son mari. Car le corps de la femme ne lui appartient plus, il est à son mari. De même, le corps du mari ne lui appartient plus, il est à sa femme.
Je lui demande qu’il vous accorde, à la mesure de ses glorieuses richesses, d’être fortifiés avec puissance par son Esprit dans votre être intérieur. Que Christ habite dans votre cœur par la foi. Enracinés et solidement fondés dans l’amour.
Mais vous, mes chers amis, bâtissez votre vie sur le fondement de votre foi très sainte. Priez par le Saint-Esprit. Maintenez-vous dans l’amour de Dieu en attendant que notre Seigneur Jésus-Christ, dans sa compassion, vous accorde la vie éternelle.
J’ai combattu le bon combat. J’ai achevé ma course. J’ai gardé la foi. Telle une couronne, la justice que Dieu accorde est déjà préparée pour moi. Le Seigneur, le juste Juge, me la remettra au jour du jugement, et pas seulement à moi, mais à tous ceux qui, avec amour, attendent sa venue.
Vous de même, maris, vivez chacun avec votre femme en faisant preuve de discernement, et en tenant compte de la nature plus délicate de la femme. Traitez-les avec respect : elles doivent recevoir avec vous la vie que Dieu accorde dans sa grâce. Agissez ainsi afin que rien ne vienne faire obstacle à vos prières.
Mais maintenant Dieu a manifesté, sans faire intervenir la Loi, la justice qu’il nous accorde et à laquelle les livres de la Loi et des prophètes rendent témoignage. Dieu déclare les hommes justes par leur foi en Jésus-Christ, et cela s’applique à tous ceux qui croient, car il n’y a pas de différence entre les hommes.