Toutefois, ce qui doit vous réjouir, ce n’est pas de voir que les esprits mauvais vous sont soumis, mais de savoir que vos noms sont inscrits dans le ciel.
Or, sans la foi, il est impossible de lui être agréable. Car celui qui s’approche de Dieu doit croire qu’il existe et qu’il récompense ceux qui se tournent vers lui.
Que le mari accorde à sa femme ce qu’il lui doit et que la femme agisse de même envers son mari. Car le corps de la femme ne lui appartient plus, il est à son mari. De même, le corps du mari ne lui appartient plus, il est à sa femme.
Il en est de même d’une lampe : si on l’allume, ce n’est pas pour la mettre sous une mesure à grains : au contraire, on la fixe sur un pied de lampe pour qu’elle éclaire tous ceux qui sont dans la maison. C’est ainsi que votre lumière doit briller devant tous les hommes, pour qu’ils voient le bien que vous faites et qu’ils en attribuent la gloire à votre Père céleste.
Vous de même, maris, vivez chacun avec votre femme en faisant preuve de discernement, et en tenant compte de la nature plus délicate de la femme. Traitez-les avec respect : elles doivent recevoir avec vous la vie que Dieu accorde dans sa grâce. Agissez ainsi afin que rien ne vienne faire obstacle à vos prières.
Avant tout, frères et sœurs, ne faites pas de serment, ni par le ciel, ni par la terre, ni par n’importe quoi d’autre. Que votre oui soit un vrai oui et votre non un vrai non, afin que vous ne tombiez pas sous le coup de la condamnation.
Avant tout, frères et sœurs, ne faites pas de serment, ni par le ciel, ni par la terre, ni par n’importe quoi d’autre. Que votre oui soit un vrai oui et votre non un vrai non, afin que vous ne tombiez pas sous le coup de la condamnation.