Pendant qu’il parlait ainsi, une nuée lumineuse les enveloppa, et une voix en sortit qui disait : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, celui qui fait toute ma joie. Ecoutez-le !
Tout le peuple venait se faire baptiser, et Jésus fut aussi baptisé. Or, pendant qu’il priait, le ciel s’ouvrit et le Saint-Esprit descendit sur lui, sous une forme corporelle, comme une colombe. Une voix retentit alors du ciel : Tu es mon Fils bien-aimé, tu fais toute ma joie.
Plus on possède de biens, plus se multiplient les profiteurs. Et quel avantage en tire leur possesseur si ce n’est le spectacle que lui offrent ces gens ?
En effet, si Dieu donne à un homme des richesses et des biens, et s’il lui accorde la possibilité d’en profiter, d’en retirer sa part et de trouver de la joie au milieu de son labeur, c’est un don de Dieu.
Veillez donc avec soin à votre manière de vivre. Ne vous comportez pas comme des insensés, mais comme des gens sensés. Mettez à profit les occasions qui se présentent à vous, car nous vivons des jours mauvais.
Mais il m’a répondu : « Ma grâce te suffit, c’est dans la faiblesse que ma puissance se manifeste pleinement. » C’est pourquoi je me vanterai plutôt de mes faiblesses, afin que la puissance de Christ repose sur moi.
Lui qui était de condition divine, ne chercha pas à profiter de l’égalité avec Dieu, mais il s’est dépouillé lui-même, et il a pris la condition d’un serviteur en se rendant semblable aux hommes : se trouvant ainsi reconnu à son aspect, comme un simple homme, il s’abaissa lui-même en devenant obéissant, jusqu’à subir la mort, oui, la mort sur la croix.
Conduisez-vous avec sagesse dans vos relations avec ceux du dehors, en mettant à profit toutes les occasions qui se présentent à vous. Que votre parole soit toujours empreinte de la grâce de Dieu et pleine de saveur pour savoir comment répondre avec à-propos à chacun.
Pierre lui dit : Ananias, comment as-tu pu laisser Satan envahir à tel point ton cœur ? Tu as menti au Saint-Esprit en cachant le prix réel de ton champ pour en détourner une partie à ton profit ! N’étais-tu pas libre de garder ta propriété ? Ou même, après l’avoir vendue, ne pouvais-tu pas faire de ton argent ce que tu voulais ? Comment as-tu pu décider en toi-même de commettre une telle action ? Ce n’est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.