Où pourrais-je aller |loin de ton Esprit ? Où pourrais-je fuir |hors de ta présence ? Si je monte au ciel |tu es là, et si je descends |au séjour des morts, |t’y voilà !
Car « l’amour de l’argent est racine de toutes sortes de maux ». Pour s’y être abandonnés, certains se sont égarés très loin de la foi, et se sont infligé beaucoup de tourments.
Mes enfants, demeurez attachés à Christ pour qu’au moment où il paraîtra, nous soyons remplis d’assurance et que nous ne nous trouvions pas tout honteux loin de lui au moment de sa venue.
Par conséquent, si ton œil droit te fait tomber dans le péché, arrache-le et jette-le au loin, car il vaut mieux pour toi perdre un de tes organes que de voir ton corps entier précipité en enfer.
Ne délaisse pas ton ami, ni l’ami de ton père, et quand le malheur t’atteint, ne t’adresse pas à ta parenté : un voisin près de toi vaut mieux qu’un parent qui se trouve loin.
Que dire maintenant ? Persisterons-nous dans le péché pour que la grâce abonde ? Loin de là ! Puisque nous sommes morts pour le péché, comment pourrions-nous vivre encore dans le péché ?
Autant le ciel est élevé |au-dessus de la terre, autant les voies que je vous ai prescrites |sont élevées au-dessus de vos voies, et autant mes pensées |sont élevées loin au-dessus des vôtres.
Je suis tiraillé de deux côtés : j’ai le désir de quitter cette vie pour être avec Christ, car c’est, de loin, le meilleur. Mais il est plus nécessaire que je demeure dans ce monde à cause de vous.
Que dire maintenant ? La Loi se confond-elle avec le péché ? Loin de là ! Seulement, s’il n’y avait pas eu la Loi, je n’aurais pas connu le péché, et je n’aurais pas su ce qu’est la convoitise si la Loi n’avait pas dit : Tu ne convoiteras pas.
Du séjour des morts, où il souffrait cruellement, il leva les yeux et aperçut, très loin, Abraham, et Lazare à côté de lui. Alors il s’écria : « Abraham, mon père, aie pitié de moi ! Envoie donc Lazare, qu’il trempe le bout de son doigt dans l’eau et me rafraîchisse la langue, car je souffre horriblement dans ces flammes. »
J’affermirai |le peuple de Juda, je sauverai |le peuple de Joseph. Je les rétablirai, car j’aurai de l’amour pour eux, ils seront comme un peuple |que je n’aurais jamais |rejeté loin de moi. Car je suis l’Eternel, leur Dieu ; je les exaucerai.
Et toi, Bethléhem Ephrata, bien que tu sois petite |parmi les villes de Juda, de toi il sortira pour moi celui qui régnera sur Israël ! Son origine |remonte aux temps passés, aux jours anciens.
Ce n’est pas vous qui m’avez choisi. Non, c’est moi qui vous ai choisis ; je vous ai donné mission d’aller, de porter du fruit, du fruit qui soit durable. Alors le Père vous accordera tout ce que vous lui demanderez en mon nom.