Que le mari accorde à sa femme ce qu’il lui doit et que la femme agisse de même envers son mari. Car le corps de la femme ne lui appartient plus, il est à son mari. De même, le corps du mari ne lui appartient plus, il est à sa femme.
Vous femmes, en particulier, chacune à son mari, et cela par égard pour le Seigneur. Le mari, en effet, est le chef de sa femme comme Christ est la tête, le chef de l’Eglise qui est son corps et dont il est le Sauveur.
Femmes, soyez soumises chacune à son mari, comme il convient à des femmes qui appartiennent au Seigneur. Maris, aimez chacun votre femme et ne nourrissez pas d’aigreur contre elles.
Je serai plein de joie, |l’Eternel en sera la source. J’exulterai |à cause de mon Dieu, parce qu’il m’aura revêtu |des habits du salut et qu’il m’aura enveloppé |du manteau de justice, tout comme le marié |se pare d’un turban |tout comme un prêtre, et comme la mariée |s’orne de ses bijoux.
L’ange lui dit alors : N’aie pas peur, Marie, car Dieu t’a accordé sa faveur. Voici : bientôt tu seras enceinte et tu mettras au monde un fils ; tu le nommeras Jésus.
Lorsqu’un homme vient de se marier, il sera dispensé du service militaire et on ne le chargera d’aucune obligation particulière ; il restera disponible pour son foyer pendant un an, et fera la joie de la femme qu’il aura épousée.
Voici dans quelles circonstances Jésus-Christ vint au monde : Marie, sa mère, était liée par fiançailles à Joseph ; or elle se trouva enceinte par l’action du Saint-Esprit, avant qu’ils aient vécu ensemble.
Il réfléchissait à ce projet quand un ange du Seigneur lui apparut en rêve et lui dit : Joseph, descendant de David, ne crains pas de prendre Marie pour femme, car l’enfant qu’elle porte vient de l’Esprit Saint.
Quant à vous, maris, que chacun de vous aime sa femme comme Christ a aimé l’Eglise : il a donné sa vie pour elle afin de la rendre digne de se tenir devant Dieu après l’avoir purifiée par sa Parole, comme par le bain nuptial.
C’est ainsi que Joseph, lui aussi, partit de Nazareth et monta de la Galilée en Judée, à Bethléhem, la ville de David : il appartenait, en effet, à la famille de David. Il s’y rendit pour se faire recenser avec Marie, sa fiancée, qui attendait un enfant.
Or, durant leur séjour à Bethléhem, arriva le moment où Marie devait accoucher. Elle mit au monde un fils : son premier-né. Elle lui mit des langes et le coucha dans une mangeoire parce qu’il n’y avait pas de place pour eux dans la pièce réservée aux hôtes.
Vous de même, maris, vivez chacun avec votre femme en faisant preuve de discernement, et en tenant compte de la nature plus délicate de la femme. Traitez-les avec respect : elles doivent recevoir avec vous la vie que Dieu accorde dans sa grâce. Agissez ainsi afin que rien ne vienne faire obstacle à vos prières.
Mais le Saint-Esprit descendra sur vous : vous recevrez sa puissance et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu’au bout du monde.
Dans toute la Judée, la Galilée et la Samarie, l’Eglise jouissait alors de la paix. Elle grandissait dans la foi, vivait dans l’obéissance au Seigneur, et s’accroissait en nombre, grâce au soutien du Saint-Esprit.