Enseigne-moi, ô Eternel, |la voie que tu veux que je suive, et je me conduirai |selon ta vérité. Accorde-moi un cœur |tel qu’il te craigne sans partage.
Je leur donne la vie éternelle : jamais elles ne périront et personne ne pourra les arracher de ma main. Mon Père qui me les a données est plus grand que tous, et personne ne peut arracher qui que ce soit de la main de mon Père. Or, moi et le Père, nous ne sommes qu’un.
J’ai combattu le bon combat. J’ai achevé ma course. J’ai gardé la foi. Telle une couronne, la justice que Dieu accorde est déjà préparée pour moi. Le Seigneur, le juste Juge, me la remettra au jour du jugement, et pas seulement à moi, mais à tous ceux qui, avec amour, attendent sa venue.
Du séjour des morts, où il souffrait cruellement, il leva les yeux et aperçut, très loin, Abraham, et Lazare à côté de lui. Alors il s’écria : « Abraham, mon père, aie pitié de moi ! Envoie donc Lazare, qu’il trempe le bout de son doigt dans l’eau et me rafraîchisse la langue, car je souffre horriblement dans ces flammes. »
Sonde-moi, ô Dieu, |pénètre mon cœur, examine-moi, |et pénètre les pensées |qui me bouleversent ! Considère si je suis |le chemin du mal et dirige-moi |sur la voie |prescrite depuis toujours !
Mais pour vous, cependant, vous qui me craignez, pour vous se lèvera le soleil de justice, qui portera la guérison dans ses rayons. Alors vous sortirez et vous gambaderez tout comme des veaux à l’engrais.
Au jour où j’agirai, déclare l’Eternel, le Seigneur des armées célestes, ces gens m’appartiendront et me seront précieux. J’aurai compassion d’eux tout comme un père a de la compassion pour un fils qui le sert.
Le jeûne qui me plaît est celui qui consiste |à détacher les liens |de la méchanceté, à délier les courroies |de toute servitude, à mettre en liberté |tous ceux que l’on opprime et à briser |toute espèce de joug.
Cependant, il sait bien |quelle voie j’ai suivie. S’il me met à l’épreuve, |je sortirai pur comme l’or. Car j’ai toujours suivi |la trace de ses pas. J’ai marché sur la voie |qu’il a prescrite, |je n’en ai pas dévié.
Alors Pierre prit la parole et dit : Maintenant je me rends vraiment compte que Dieu ne fait pas de différence entre les hommes. Au contraire, parmi tous les peuples, tout homme qui le craint et qui fait ce qui est juste lui est agréable.
Le vainqueur, je le ferai siéger avec moi sur mon trône, comme moi-même, je suis allé siéger avec mon Père sur son trône après avoir remporté la victoire.
J’ai présenté à l’Eternel |un seul souhait, |mais qui me tient vraiment à cœur : je voudrais habiter |dans la maison de l’Eternel |tous les jours de ma vie afin d’admirer l’Eternel |dans sa beauté, et de chercher à le connaître |dans sa demeure.
Va rassembler tous les Juifs qui se trouvent à Suse. Jeûnez pour moi, sans manger ni boire pendant trois jours et trois nuits. J’observerai de mon côté le même jeûne avec mes servantes. Ensuite, je me rendrai chez l’empereur, malgré la loi. Si je dois mourir, je mourrai !
Où pourrais-je aller |loin de ton Esprit ? Où pourrais-je fuir |hors de ta présence ? Si je monte au ciel |tu es là, et si je descends |au séjour des morts, |t’y voilà !
Car un jour dans tes parvis |vaut bien mieux que mille ailleurs. Plutôt rester sur le seuil |de la maison de mon Dieu, que de demeurer |sous les tentes des méchants.
Vous n’opprimerez pas la veuve ni l’orphelin. Si vous les opprimez et qu’ils fassent monter leur plainte vers moi, je ne manquerai pas d’écouter leur cri, je me mettrai en colère contre vous et je vous ferai périr par la guerre, de sorte que vos femmes deviendront veuves et vos fils orphelins.
Si alors mon peuple qui est appelé de mon nom s’humilie, prie et recherche ma grâce, s’il se détourne de sa mauvaise conduite, moi, je l’écouterai du ciel, je lui pardonnerai ses péchés et je guérirai son pays.