Celui qui m’aime, c’est celui qui retient mes commandements et les applique. Mon Père aimera celui qui m’aime ; moi aussi, je l’aimerai et je me ferai connaître à lui.
Vous aviez projeté de me faire du mal, mais par ce que vous avez fait, Dieu a projeté du bien en vue d’accomplir ce qui se réalise aujourd’hui, pour sauver la vie à un peuple nombreux.
L’Eternel, le Seigneur, |c’est lui ma force : il rend mes pieds pareils |à ceux des biches, il me fait cheminer |sur les lieux élevés. Pour le chef des musiciens. A chanter avec accompagnement d’instruments à cordes.
Si seulement ils pouvaient garder ces mêmes dispositions à me craindre et à suivre tous les jours tous mes commandements, afin qu’eux et leurs descendants soient heureux pour toujours.
Car je sauvais le pauvre |qui appelait à l’aide ainsi que l’orphelin |privé de tout secours. Ceux qui allaient mourir |me bénissaient, et je mettais la joie |dans le cœur de la veuve.
Je t’aime, ô Eternel, ma force ! L’Eternel est ma forteresse, |mon rocher, mon libérateur. Il est mon Dieu, le roc solide |où je me réfugie. Il est mon Sauveur tout-puissant, |mon rempart et mon bouclier.
Ne me retiens pas, lui dit Jésus, car je ne suis pas encore monté vers mon Père. Va plutôt trouver mes frères et dis-leur de ma part : Je monte vers mon Père qui est votre Père, vers mon Dieu qui est votre Dieu.
Mais il m’a répondu : « Ma grâce te suffit, c’est dans la faiblesse que ma puissance se manifeste pleinement. » C’est pourquoi je me vanterai plutôt de mes faiblesses, afin que la puissance de Christ repose sur moi.
En ce qui me concerne, je ne veux à aucun prix placer ma fierté ailleurs que dans la mort de notre Seigneur Jésus-Christ sur la croix. Par elle, en effet, le monde dominé par le mal a été crucifié pour moi, de même que moi je l’ai été pour ce monde.
Car le figuier |ne bourgeonnera plus, et il n’y aura plus |de raisins dans les vignes, le fruit de l’olivier |trompera les espoirs, les champs ne produiront |plus de pain à manger. Les moutons et les chèvres |disparaîtront de leurs enclos, et les bovins de leurs étables. Mais moi, c’est à cause de l’Eternel |que je veux me réjouir, j’exulterai de joie |à cause du Dieu qui me sauve.
Enseigne-moi, ô Eternel, |la voie que tu veux que je suive, et je me conduirai |selon ta vérité. Accorde-moi un cœur |tel qu’il te craigne sans partage.