Moi, je chanterai ta force et, dès le matin, |j’acclamerai ton amour, car tu es pour moi |une forteresse, tu es mon refuge |quand je suis dans la détresse !
Qui accomplit cela ? |Qui le fait arriver ? Qui appelle à la vie les générations d’hommes |dès le commencement ? Moi, l’Eternel, |moi, qui suis le premier et qui suis avec les derniers, |oui, c’est bien moi !
Je suis le cep de la vigne, vous en êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure, portera du fruit en abondance, car sans moi, vous ne pouvez rien faire.
Il fallait que je vous dise aussi cela pour que vous trouviez la paix en moi. Dans le monde, vous aurez à souffrir bien des afflictions. Mais courage ! Moi, j’ai vaincu le monde.
Enseigne-moi, ô Eternel, |la voie que tu veux que je suive, et je me conduirai |selon ta vérité. Accorde-moi un cœur |tel qu’il te craigne sans partage.
Dès le matin, |annonce-moi |ta bienveillance, car c’est en toi |que j’ai mis ma confiance ! Fais-moi connaître |la voie que je dois suivre, car c’est vers toi |que je me tourne !
Le dernier jour de la fête, le jour le plus solennel, Jésus se tint devant la foule et lança à pleine voix : Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi, et que celui qui croit en moi boive.
Mais Jésus leur dit : Laissez donc ces petits enfants, ne les empêchez pas de venir à moi, car le royaume des cieux appartient à ceux qui leur ressemblent.
Approchons-nous donc du trône du Dieu de grâce avec une pleine assurance. Là, Dieu nous accordera sa bonté et nous donnera sa grâce pour que nous soyons secourus au bon moment.