Ainsi, puisque Dieu vous a choisis pour faire partie du peuple saint et qu’il vous aime, revêtez-vous d’ardente bonté, de bienveillance, d’humilité, de douceur, de patience.
Car Dieu n’est pas injuste au point d’oublier l’activité que vous avez déployée, par amour pour lui, dans les services que vous avez rendus – et que vous rendez encore – à ceux qui font partie du peuple saint.
En effet, tout ce qui fait partie du monde : les mauvais désirs qui animent l’homme livré à lui-même, la soif de posséder ce qui attire les regards, et l’orgueil qu’inspirent les biens matériels, tout cela ne vient pas du Père, mais du monde.
Pierre lui dit : Ananias, comment as-tu pu laisser Satan envahir à tel point ton cœur ? Tu as menti au Saint-Esprit en cachant le prix réel de ton champ pour en détourner une partie à ton profit ! N’étais-tu pas libre de garder ta propriété ? Ou même, après l’avoir vendue, ne pouvais-tu pas faire de ton argent ce que tu voulais ? Comment as-tu pu décider en toi-même de commettre une telle action ? Ce n’est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.
Voilà pourquoi vous n’êtes plus des étrangers ou des résidents temporaires, vous êtes concitoyens des membres du peuple saint, vous faites partie de la famille de Dieu. Dieu vous a intégrés à l’édifice qu’il construit sur le fondement que sont les apôtres, ses prophètes, et dont Jésus-Christ lui-même est la pierre principale.
Nous qui sommes juifs de naissance, nous ne faisons pas partie de ces « pécheurs » que sont les païens. Cependant, nous avons compris qu’on est déclaré juste devant Dieu, non parce qu’on accomplit les œuvres que commande la Loi, mais uniquement par la foi en Jésus-Christ. C’est pourquoi nous avons, nous aussi, placé notre confiance en Jésus-Christ pour être déclarés justes par la foi et non parce que nous aurions accompli ce que la Loi ordonne. Car personne ne sera déclaré juste devant Dieu parce qu’il aura accompli ce qu’ordonne la Loi.
A toi, Eternel, appartiennent |la grandeur, la puissance |et la magnificence, et la gloire et la majesté. Car tout ce qui est dans le ciel |et sur la terre |est à toi, Eternel. C’est à toi qu’appartient le règne, tu es le souverain |au-dessus de tout être.
Que le mari accorde à sa femme ce qu’il lui doit et que la femme agisse de même envers son mari. Car le corps de la femme ne lui appartient plus, il est à son mari. De même, le corps du mari ne lui appartient plus, il est à sa femme.
Au jour où j’agirai, déclare l’Eternel, le Seigneur des armées célestes, ces gens m’appartiendront et me seront précieux. J’aurai compassion d’eux tout comme un père a de la compassion pour un fils qui le sert.
Maintenant, si vous m’obéissez et si vous restez fidèles à mon alliance, vous serez pour moi un peuple précieux parmi tous les peuples, bien que toute la terre m’appartienne.
Femmes, soyez soumises chacune à son mari, comme il convient à des femmes qui appartiennent au Seigneur. Maris, aimez chacun votre femme et ne nourrissez pas d’aigreur contre elles.
On nous croit affligés, et nous sommes toujours joyeux, pauvres, et nous faisons beaucoup de riches, dépourvus de tout, alors que tout nous appartient.
Mais Jésus leur dit : Laissez donc ces petits enfants, ne les empêchez pas de venir à moi, car le royaume des cieux appartient à ceux qui leur ressemblent.
Ainsi, si quelqu’un est uni à Christ, il appartient à une nouvelle création : les choses anciennes sont passées : voici, les choses nouvelles sont venues.
Tu ne convoiteras pas la maison de ton prochain, tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni rien qui appartienne à ton prochain.
Quel est le Dieu semblable à toi, qui efface les fautes |et qui pardonne les péchés du reste de ton peuple |qui t’appartient ? Toi, tu n’entretiens pas |ta colère à jamais, mais tu prends ton plaisir |à faire grâce.
Mes amis, ne vous vengez pas vous-mêmes, mais laissez agir la colère de Dieu, car il est écrit : C’est à moi qu’il appartient de faire justice ; c’est moi qui rendrai à chacun son dû.
O Dieu, tu es mon Dieu ! |C’est toi que je recherche. Mon âme a soif de toi, mon corps même ne cesse |de languir après toi comme une terre aride, |desséchée et sans eau.