L’Eternel, le Seigneur, |c’est lui ma force : il rend mes pieds pareils |à ceux des biches, il me fait cheminer |sur les lieux élevés. Pour le chef des musiciens. A chanter avec accompagnement d’instruments à cordes.
D’un côté, l’Eternel |est lent à la colère, sa puissance est immense, mais il ne laisse pas |le coupable impuni. L’Eternel fraie sa route |dans l’ouragan et la tempête, et les nuées sont la poussière |que soulèvent ses pieds.
Quand ils eurent fini de prier, la terre se mit à trembler sous leurs pieds à l’endroit où ils étaient assemblés. Ils furent tous remplis du Saint-Esprit et annonçaient la Parole de Dieu avec assurance.
Tenez donc ferme : ayez autour de la taille la vérité pour ceinture, et revêtez-vous de la droiture en guise de cuirasse. Ayez pour chaussures à vos pieds la disponibilité à servir l’Evangile de la paix. En toute circonstance, saisissez-vous de la foi comme d’un bouclier avec lequel vous pourrez éteindre toutes les flèches enflammées du diable.
Eh bien, moi je vous dis de ne pas faire de serment du tout. Ne dites pas : « Je le jure par le ciel », car le ciel, c’est le trône de Dieu. Ou : « J’en prends la terre à témoin », car elle est l’escabeau où Dieu pose ses pieds. Ou : « Je le jure par Jérusalem ; », car elle est la ville de Dieu, le grand Roi.
Ta délivrance |me sert de bouclier, de ta main droite, |tu me soutiens, et ta sollicitude me grandit. Tu m’amènes à marcher |sur un chemin bien large, mes jambes ne fléchissent pas.
Comme il est beau de voir |sur les montagnes les pas du messager |d’une bonne nouvelle, qui annonce la paix, qui parle de bonheur, et qui annonce le salut, qui dit à Sion : « Ton Dieu règne. »