Le corps humain forme un tout, et pourtant il a beaucoup d’organes. Et tous ces organes, dans leur multiplicité, ne constituent qu’un seul corps. Il en va de même pour ceux qui sont unis à Christ.
Pourtant, c’est la vérité que je vais vous dire : il vaut mieux pour vous que je m’en aille. En effet, si je ne m’en vais pas, le Défenseur en justice ne viendra pas à vous. Mais si je m’en vais, alors je vous l’enverrai.
Tous les athlètes s’imposent une discipline sévère dans tous les domaines pour recevoir une couronne, qui pourtant sera bien vite fanée, alors que nous, nous aspirons à une couronne qui ne se flétrira jamais.
Ne vend-on pas cinq moineaux pour deux sous ? Et pourtant, Dieu prend soin de chacun d’eux. Bien plus : même les cheveux de votre tête sont comptés. N’ayez aucune crainte, car vous avez plus de valeur que toute une volée de moineaux.
C’est ainsi que je pourrai connaître Christ, c’est-à-dire expérimenter la puissance de sa résurrection et avoir part à ses souffrances, en devenant semblable à lui jusque dans sa mort.
Ainsi vous deviendrez riches de tous les biens et vous pourrez donner largement, ce qui suscitera, chez ceux auxquels nous distribuerons vos dons, de nombreuses prières de reconnaissance envers Dieu.
Jésus, vous ne l’avez pas vu, et pourtant vous l’aimez ; mais en plaçant votre confiance en lui sans le voir encore, vous êtes remplis d’une joie glorieuse et inexprimable, car vous obtenez en retour votre salut qui est le but de votre foi.
Parmi les animaux aquatiques, vous pourrez manger tous ceux qui ont des nageoires et des écailles. Mais vous ne mangerez pas ceux qui n’ont pas de nageoires et d’écailles, vous les considérerez comme impurs.
Venez et discutons ensemble, dit l’Eternel : si vos péchés sont rouges |comme de l’écarlate, ils deviendront aussi blancs que la neige. Oui, s’ils sont rouges |comme la pourpre, ils deviendront |aussi blancs que la laine.
Le cœur est tortueux |plus que toute autre chose, et il est incurable, qui pourrait le connaître ? Moi, l’Eternel, |moi, je sonde les cœurs, je scrute le tréfonds de l’être pour donner à chacun |ce que lui auront valu sa conduite et les effets |de ses agissements.
Toute arme fabriquée |pour te faire du mal n’atteindra pas son but, et tu pourras confondre tous tes accusateurs |en jugement, car tel est l’apanage |des serviteurs de l’Eternel et c’est ainsi |que je leur fais justice, l’Eternel le déclare.
Retourne auprès d’Ezéchias, le chef de mon peuple, et dis-lui : « Voici ce que déclare l’Eternel, le Dieu de David ton ancêtre : J’ai entendu ta prière et j’ai vu tes larmes. Je vais te guérir. Après-demain, tu pourras te rendre au temple de l’Eternel. »
Ne vend-on pas une paire de moineaux pour un sou ? Et pourtant, pas un seul d’entre eux ne tombe à terre sans le consentement de votre Père. Quant à vous, même les cheveux de votre tête sont tous comptés. N’ayez donc aucune crainte, car vous, vous avez plus de valeur que toute une volée de moineaux.
Vraiment, je vous l’assure, répondit Jésus, si vous avez la foi, si vous ne doutez pas, non seulement vous pourrez accomplir ce que j’ai fait à ce figuier, mais même si vous dites à cette colline : « Soulève-toi de là et jette-toi dans la mer », cela se fera.
En effet, la grâce de Dieu s’est révélée comme une source de salut pour tous les hommes. Elle nous éduque et nous amène à nous détourner de tout mépris de Dieu et à rejeter les passions des gens de ce monde. Ainsi nous pourrons mener, dans le temps présent, une vie équilibrée, juste et empreinte de piété.
Parce que vous n’avez que peu de foi, leur répondit-il. Vraiment, je vous l’assure, si vous aviez de la foi, même si elle n’était pas plus grosse qu’une graine de moutarde, vous pourriez commander à cette montagne : Déplace-toi d’ici jusque là-bas, et elle le ferait. Rien ne vous serait impossible.
Christ nous a rendus libres pour que nous connaissions la vraie liberté. C’est pourquoi tenez bon et ne vous mettez pas à nouveau sous le joug de l’esclavage.
Toi donc, qui que tu sois, qui condamnes autrui, tu n’as aucune excuse, car en condamnant les autres, tu te condamnes toi-même, puisque toi qui les condamnes, tu te conduis comme eux.
Dès le matin, |annonce-moi |ta bienveillance, car c’est en toi |que j’ai mis ma confiance ! Fais-moi connaître |la voie que je dois suivre, car c’est vers toi |que je me tourne !