Que le Seigneur vous remplisse, jusqu’à en déborder, d’amour les uns pour les autres et envers tous les hommes, à l’exemple de l’amour que nous vous portons.
Comment la comprends-tu ? Il lui répondit : Tu aimeras le Seigneur ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ton énergie et de toute ta pensée, et ton prochain comme toi-même.
L’aimer de tout son cœur, de toute son intelligence et de toute son énergie, ainsi qu’aimer son prochain comme soi-même, c’est bien plus important que tous les holocaustes et tous les sacrifices.
La religion authentique et pure aux yeux de Dieu, le Père, consiste à aider les orphelins et les veuves dans leurs détresses et à ne pas se laisser corrompre par ce monde.
Voici ce que déclare le Seigneur des armées célestes : Rendez des jugements conformes à la vérité, agissez les uns envers les autres avec amour et compassion. N’exploitez pas la veuve et l’orphelin, ni l’immigré et les démunis, et ne tramez aucun mal les uns contre les autres.
Tu ne commettras pas de meurtre ; tu ne commettras pas d’adultère ; tu ne commettras pas de vol ; tu ne porteras pas de faux témoignage ; honore ton père et ta mère, et tu aimeras ton prochain comme toi-même.
L’homme à la conduite intègre : |il pratique la justice, et il dit la vérité |qu’il pense au fond de son cœur, il ne calomnie pas son prochain, il ne lui fait aucun mal, et il ne s’associe pas |à ce qui déprécierait ses proches.
Ne délaisse pas ton ami, ni l’ami de ton père, et quand le malheur t’atteint, ne t’adresse pas à ta parenté : un voisin près de toi vaut mieux qu’un parent qui se trouve loin.
Pour cette raison même, faites tous vos efforts pour ajouter à votre foi la vertu, à la vertu la connaissance, à la connaissance la maîtrise de soi, à la maîtrise de soi l’endurance dans l’épreuve, à l’endurance la piété, à la piété l’affection fraternelle, et à l’affection fraternelle l’amour.
Le jeûne qui me plaît est celui qui consiste |à détacher les liens |de la méchanceté, à délier les courroies |de toute servitude, à mettre en liberté |tous ceux que l’on opprime et à briser |toute espèce de joug.
Alors Pierre s’approcha de Jésus et lui demanda : Seigneur, si mon frère se rend coupable à mon égard, combien de fois devrai-je lui pardonner ? Irai-je jusqu’à sept fois ? – Non, lui répondit Jésus, je ne te dis pas d’aller jusqu’à sept fois, mais jusqu’à soixante-dix fois sept fois.
Il leur répondit : Si quelqu’un a deux chemises, qu’il en donne une à celui qui n’en a pas. Si quelqu’un a de quoi manger, qu’il partage avec celui qui n’a rien.