Nul ne peut être en même temps au service de deux maîtres, car ou bien il détestera l’un et aimera l’autre, ou bien il sera dévoué au premier et méprisera le second. Vous ne pouvez pas servir en même temps Dieu et l’Argent.
S’il vous déplaît de servir l’Eternel, alors choisissez aujourd’hui à quels dieux vous voulez rendre un culte : ceux que vos ancêtres adoraient de l’autre côté de l’Euphrate ou ceux des Amoréens dont vous habitez le pays ; quant à moi et à ma famille, nous adorerons l’Eternel.
C’est pourquoi, mes chers frères et sœurs, soyez fermes, ne vous laissez pas ébranler, travaillez sans relâche pour le Seigneur, sachant que la peine que vous vous donnez au service du Seigneur n’est pas inutile.
Si quelqu’un veut être à mon service, qu’il me suive. Là où je serai, mon serviteur y sera aussi. Si quelqu’un est à mon service, le Père lui fera honneur.
C’est à l’Eternel votre Dieu que vous rendrez un culte, c’est lui que vous craindrez ; vous obéirez à ses commandements, vous l’écouterez, c’est à lui seul que vous rendrez un culte, et c’est à lui seul que vous vous attacherez.
Très bien, lui dit son maître, tu es un bon serviteur, en qui l’on peut avoir confiance. Tu t’es montré fidèle en peu de choses. C’est pourquoi je t’en confierai de plus importantes. Viens partager la joie de ton maître !
Oui, mes frères et sœurs, vous avez été appelés à la liberté. Seulement, ne faites pas de cette liberté un prétexte pour vivre comme des hommes livrés à eux-mêmes. Au contraire, par amour, mettez-vous au service les uns des autres.
Et maintenant, Israël, qu’attend de toi l’Eternel ton Dieu ? Simplement que tu le craignes en suivant toutes les voies qu’il t’a prescrites, en l’aimant et en le servant de tout ton cœur et de tout ton être, en observant ses commandements et ses lois que je te prescris aujourd’hui pour ton bien.
Car toute l’Ecriture est inspirée de Dieu et utile pour enseigner, réfuter, redresser et apprendre à mener une vie conforme à ce qui est juste. Ainsi, l’homme de Dieu se trouve parfaitement préparé et équipé pour accomplir toute œuvre bonne.
Qu’il n’en soit pas ainsi parmi vous. Au contraire : si quelqu’un veut être grand parmi vous, qu’il soit votre serviteur, si quelqu’un veut être le premier parmi vous, qu’il soit votre esclave.
Car Dieu n’est pas injuste au point d’oublier l’activité que vous avez déployée, par amour pour lui, dans les services que vous avez rendus – et que vous rendez encore – à ceux qui font partie du peuple saint.
Seulement, veillez bien à appliquer le commandement et la Loi que Moïse, serviteur de l’Eternel, vous a transmis : aimez l’Eternel, votre Dieu ! Suivez tous les chemins qu’il a prescrits pour vous, obéissez à ses commandements, attachez-vous à lui et servez-le de tout votre cœur et de tout votre être !
Tenez donc ferme : ayez autour de la taille la vérité pour ceinture, et revêtez-vous de la droiture en guise de cuirasse. Ayez pour chaussures à vos pieds la disponibilité à servir l’Evangile de la paix. En toute circonstance, saisissez-vous de la foi comme d’un bouclier avec lequel vous pourrez éteindre toutes les flèches enflammées du diable.
Cette Bonne Nouvelle du royaume de Dieu sera proclamée dans le monde entier pour que tous les peuples en entendent le témoignage. Alors seulement viendra la fin.
Si même je sacrifiais tous mes biens, et jusqu’à ma vie, pour aider les autres, au point de pouvoir m’en vanter, sans l’amour, cela ne me servirait de rien.