Et maintenant, Israël, qu’attend de toi l’Eternel ton Dieu ? Simplement que tu le craignes en suivant toutes les voies qu’il t’a prescrites, en l’aimant et en le servant de tout ton cœur et de tout ton être, en observant ses commandements et ses lois que je te prescris aujourd’hui pour ton bien.
Puis, lorsque Job eut prié pour ses amis, l’Eternel le rétablit dans son ancienne condition. Il donna même à Job deux fois autant des biens qu’il avait possédés.
Alors, dans ma détresse, |j’invoquai l’Eternel. Vers mon Dieu, je lançai |mon appel au secours, mon cri parvint à ses oreilles et, de son temple, il m’entendit.
Celui qui obéit à ses commandements demeure en Dieu et Dieu demeure en lui. Et à quoi reconnaissons-nous qu’il demeure en nous ? De par l’Esprit qu’il nous a donné.
C’est pour vous, en premier lieu, que Dieu a ressuscité son serviteur ; et il vous l’a envoyé pour vous bénir, en détournant chacun de vous de ses mauvaises actions.
Maintenant, moi, Nabuchodonosor, je loue, j’exalte et je glorifie le Roi des cieux, car il agit en accord avec ses paroles et tout ce qu’il fait est juste, il a le pouvoir d’abaisser ceux qui vivent dans l’orgueil.
Dans l’amour, il n’y a pas de place pour la crainte, car l’amour parvenu à une pleine maturité chasse toute crainte. En effet, la crainte suppose la perspective d’un châtiment. L’amour de celui qui vit dans la crainte n’est pas encore parvenu à sa pleine maturité.