Voici : je me tiens devant la porte et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui et je dînerai avec lui et lui avec moi.
Combien est grande la bonté que tu tiens en réserve |en faveur de ceux qui te craignent, et que tu viens répandre, |sur ceux qui s’abritent en toi, au vu de tous les hommes.
Je t’ai donné cet ordre : Prends courage et tiens bon, ne crains rien et ne te laisse pas effrayer, car moi, l’Eternel ton Dieu, je serai avec toi pour tout ce que tu entreprendras.
Et tiens compte de ton Créateur |au temps de ta jeunesse, avant que t’adviennent |les jours mauvais et avant que viennent |les années dont tu te diras : « Je n’y prends pas plaisir ! »
Mets ta confiance en l’Eternel de tout ton cœur, et ne te repose pas sur ta propre intelligence. Tiens compte de lui pour tout ce que tu entreprends, et il te conduira sur le droit chemin.
L’Eternel dit à Moïse : Monte vers moi sur la montagne et tiens-toi là. Je te donnerai les tables de pierre sur lesquelles j’ai transcrit la Loi et les commandements pour que tu les enseignes au peuple.
O Eternel, |veuille agir en fonction |de la compassion |et de l’amour, qui te caractérisent |depuis toujours. Ne tiens plus compte |de ces péchés de ma jeunesse, |de mes fautes passées, mais traite-moi |selon ta grâce, car tu es bon |ô Eternel !
Si, le jour du sabbat, |tu te retiens de travailler, si tu t’abstiens |de traiter tes affaires |en ce jour qui m’est consacré, si pour toi le jour du sabbat |est un temps de délices, si ce saint jour de l’Eternel, |tu le tiens en estime et si tu le respectes en t’abstenant de faire |ce qui te plaît, de traiter tes affaires et de tenir de longs discours, alors tu trouveras |ta joie en l’Eternel, et sur les hauteurs du pays |je te ferai passer et je te donnerai |la pleine jouissance |du patrimoine |de Jacob, ton ancêtre. L’Eternel a parlé.
Quel est le Dieu semblable à toi, qui efface les fautes |et qui pardonne les péchés du reste de ton peuple |qui t’appartient ? Toi, tu n’entretiens pas |ta colère à jamais, mais tu prends ton plaisir |à faire grâce.
Ta délivrance |me sert de bouclier, de ta main droite, |tu me soutiens, et ta sollicitude me grandit. Tu m’amènes à marcher |sur un chemin bien large, mes jambes ne fléchissent pas.
Ne sois pas effrayé, car je suis avec toi ; ne sois pas angoissé, car moi je suis ton Dieu. Je t’affermis, je viens à ton secours, pour sûr, je te soutiens |de mon bras droit |qui fait justice.
Et c’est de toi que viennent |la richesse et la gloire. Tu domines sur tout et dans ta main résident |la force et la puissance, tu détiens le pouvoir |d’élever qui tu veux |et de le rendre fort.
Ne me retiens pas, lui dit Jésus, car je ne suis pas encore monté vers mon Père. Va plutôt trouver mes frères et dis-leur de ma part : Je monte vers mon Père qui est votre Père, vers mon Dieu qui est votre Dieu.
Si vous écoutez attentivement l’Eternel votre Dieu, et si vous faites ce qui est droit à ses yeux, si vous êtes attentifs à ses commandements et si vous obéissez à toutes ses lois, je ne vous infligerai aucune des maladies dont j’ai frappé les Egyptiens ; car je suis l’Eternel qui vous apporte la guérison.
Il faut cependant, frères et sœurs, que je vous adresse une recommandation instante, et c’est au nom de notre Seigneur Jésus-Christ que je le fais. Vivez tous ensemble en pleine harmonie ! Ne laissez pas de division s’introduire entre vous ! Soyez parfaitement unis en ayant une même conviction, une même façon de penser !