Ne vous imaginez pas que je sois venu pour abolir ce qui est écrit dans la Loi ou les prophètes ; je ne suis pas venu pour abolir, mais pour accomplir.
Quand le Défenseur en justice sera venu, celui que je vous enverrai d’auprès du Père, l’Esprit de vérité qui vient du Père, il rendra lui-même témoignage de moi.
Allez donc apprendre quel est le sens de cette parole : Ce que je veux, c’est la compassion bien plus que les sacrifices. Car je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs.
Voici comment savoir s’il s’agit de l’Esprit de Dieu : tout esprit qui reconnaît que c’est pleinement humain que Jésus est venu, vient de Dieu. Tout esprit, au contraire, qui ne reconnaît pas ce Jésus-là ne vient pas de Dieu. C’est là l’esprit de « l’anti-Christ » dont vous avez entendu annoncer la venue. Eh bien, dès à présent, cet esprit est dans le monde.
Mais nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu et qu’il nous a donné l’intelligence pour que nous connaissions le Dieu véritable. Ainsi, nous sommes unis au Dieu véritable, de par notre union à son Fils Jésus-Christ. Ce Fils est lui-même le Dieu véritable et la vie éternelle.
Ainsi, si quelqu’un est uni à Christ, il appartient à une nouvelle création : les choses anciennes sont passées : voici, les choses nouvelles sont venues.
Celui qui est la Parole est devenu homme et il a vécu parmi nous. Nous avons contemplé sa gloire, la gloire du Fils unique envoyé par son Père : plénitude de grâce et de vérité !
Mes enfants, demeurez attachés à Christ pour qu’au moment où il paraîtra, nous soyons remplis d’assurance et que nous ne nous trouvions pas tout honteux loin de lui au moment de sa venue.
Jésus était né à Bethléhem en Judée, sous le règne du roi Hérode. Or, des mages venant de l’Orient arrivèrent à Jérusalem. Ils demandaient : Où est le roi des Juifs qui vient de naître ? Nous avons vu se lever son étoile, et nous sommes venus lui rendre hommage.
J’ai combattu le bon combat. J’ai achevé ma course. J’ai gardé la foi. Telle une couronne, la justice que Dieu accorde est déjà préparée pour moi. Le Seigneur, le juste Juge, me la remettra au jour du jugement, et pas seulement à moi, mais à tous ceux qui, avec amour, attendent sa venue.
Tout m’est permis. Certes, mais tout n’est pas bon pour moi. Tout m’est permis, c’est vrai, mais je ne veux pas me placer sous un esclavage quelconque.