N’aie pas peur, car je suis moi-même avec toi. Ne promène pas des regards inquiets, car je suis ton Dieu. Je te fortifie, je viens à ton secours, je te soutiens par ma main droite, la main de la justice.
Mais ceux qui comptent sur l'Eternel renouvellent leur force. Ils prennent leur envol comme les aigles. Ils courent sans s’épuiser, ils marchent sans se fatiguer.
C'est pourquoi je me plais dans les faiblesses, dans les insultes, dans les détresses, dans les persécutions, dans les angoisses pour Christ, car quand je suis faible, c'est alors que je suis fort.
Je t’aime, Eternel, ma force, Eternel, mon rocher, ma forteresse, mon libérateur, mon Dieu, mon rocher où je trouve un abri, mon bouclier, la force qui me sauve, mon rempart!
L’Eternel est ma force et mon bouclier. C’est en lui que mon cœur se confie, et je suis secouru. Mon cœur est dans la joie, et je le loue par mes chants.
En effet, la parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante que toute épée à deux tranchants, pénétrante jusqu’à séparer âme et esprit, jointures et moelles; elle juge les sentiments et les pensées du cœur.
A celui qui peut faire, par la puissance qui agit en nous, infiniment plus que tout ce que nous demandons ou pensons, à lui soit la gloire dans l'Eglise et en Jésus-Christ, pour toutes les générations, aux siècles des siècles! Amen!
A toi, Eternel, sont la grandeur, la puissance et la splendeur, l'éternité et la gloire, car tout ce qui est dans le ciel et sur la terre t'appartient. A toi, Eternel, sont le règne et l’autorité suprême!
Voici la parole que l'Eternel adresse à Zorobabel: Ce n'est ni par la puissance ni par la force, mais c'est par mon Esprit, dit l'Eternel, le maître de l’univers.
Et il m'a dit: «Ma grâce te suffit, car ma puissance s'accomplit dans la faiblesse.» Aussi, je me montrerai bien plus volontiers fier de mes faiblesses afin que la puissance de Christ repose sur moi.
En effet, ce n’est pas par leur épée qu’ils se sont emparés du pays, ce n’est pas leur bras qui les a sauvés, mais c’est ta main droite, c’est ton bras, c’est la lumière de ton visage, parce que tu les aimais.