Versets Biblique sur 'Êtes'
- Car, par la foi en Jésus-Christ, vous êtes tous fils et filles de Dieu. Car vous tous qui avez été baptisés pour Christ, vous vous êtes revêtus de Christ.
- Car nous travaillons ensemble au service de Dieu, et vous, vous êtes le champ qu’il cultive. Ou encore : vous êtes l’édifice qu’il construit.
- Puisque vous êtes les enfants bien-aimés de Dieu, suivez l’exemple de votre Père.
- Vous êtes la lumière du monde. Une ville au sommet d’une colline n’échappe pas aux regards.
- Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu et que l’Esprit de Dieu habite en vous ?
- Venez à moi, vous tous qui êtes accablés sous le poids d’un lourd fardeau, et je vous donnerai du repos.
- A ceci, tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : à l’amour que vous aurez les uns pour les autres.
- Si quelqu’un détruit son temple, Dieu le détruira. Car son temple est saint, et vous êtes ce temple.
- Vous qui cherchez à être déclarés justes par Dieu en accomplissant la Loi, vous êtes séparés de Christ : vous n’êtes plus sous le régime de la grâce.
- Mais maintenant, par votre union avec Jésus-Christ, vous qui, autrefois, étiez loin, vous êtes devenus proches grâce au sacrifice de Christ.
- Car vous êtes nés à une vie nouvelle, non d’un homme mortel, mais d’une semence immortelle : la Parole vivante et éternelle de Dieu.
- Il n’y a plus ni Juifs ni non-Juifs, il n’y a plus ni esclave ni homme libre, il n’y a ni homme ni femme. Unis à Jésus-Christ, vous êtes tous un.
- Ne vous mentez pas les uns aux autres, car vous vous êtes dépouillés de l’homme que vous étiez autrefois avec tous ses agissements, et vous vous êtes revêtus de l’homme nouveau. Celui-ci se renouvelle pour être l’image de son Créateur afin de parvenir à la pleine connaissance.
- Vous êtes le sel de la terre. Si ce sel perd sa saveur, avec quoi la salera-t-on ? Ce sel ne vaut plus rien : il n’est bon qu’à être jeté dehors et piétiné.
- Peuple adultère que vous êtes ! Ne savez-vous pas qu’aimer le monde, c’est haïr Dieu ? Si donc quelqu’un veut être l’ami du monde, il se fait l’ennemi de Dieu.
- Je suis le cep de la vigne, vous en êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure, portera du fruit en abondance, car sans moi, vous ne pouvez rien faire.
- Vous, mes enfants, vous êtes de Dieu et vous avez la victoire sur ces prophètes de mensonge, car celui qui est en vous est plus puissant que celui qui inspire ce monde.
- Si donc, tout mauvais que vous êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison le Père céleste donnera-t-il l’Esprit Saint à ceux qui le lui demandent.
- Si vous produisez du fruit en abondance et que vous prouvez ainsi que vous êtes vraiment mes disciples, mon Père sera glorifié aux yeux de tous.
- Alors Jésus dit aux Juifs qui avaient mis leur foi en lui : Si vous vous attachez à la Parole que je vous ai annoncée, vous êtes vraiment mes disciples. Vous connaîtrez la vérité, et la vérité fera de vous des hommes libres.
- Car c’est par grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Cela ne vient pas de vous, c’est un don de Dieu ; ce n’est pas le fruit d’œuvres que vous auriez accomplies. Personne n’a donc de raison de se vanter.
- Vous agirez ainsi en hommes libres, sans faire pour autant de votre liberté un voile pour couvrir une mauvaise conduite, car vous êtes des serviteurs de Dieu.
- Mais Dieu est riche en bonté. Aussi, à cause du grand amour dont il nous a aimés, alors que nous étions morts à cause de nos fautes, il nous a fait revivre les uns et les autres avec Christ. – C’est par la grâce que vous êtes sauvés.
- Mais vous, vous êtes un peuple élu, une communauté de rois-prêtres, une nation sainte, un peuple que Dieu a pris pour sien, pour que vous célébriez bien haut les œuvres merveilleuses de celui qui vous a appelés à passer des ténèbres à son admirable lumière.
- Vous convoitez beaucoup de choses, mais vos désirs restent insatisfaits. Vous êtes meurtriers, vous vous consumez en jalousie, et vous ne pouvez rien obtenir. Vous bataillez et vous vous disputez. Vous n’avez pas ce que vous désirez parce que vous ne demandez pas à Dieu.
- Voilà pourquoi vous n’êtes plus des étrangers ou des résidents temporaires, vous êtes concitoyens des membres du peuple saint, vous faites partie de la famille de Dieu. Dieu vous a intégrés à l’édifice qu’il construit sur le fondement que sont les apôtres, ses prophètes, et dont Jésus-Christ lui-même est la pierre principale.
- Frères et sœurs, je vous rappelle l’Evangile que je vous ai annoncé, que vous avez reçu et auquel vous demeurez attachés. C’est par cet Evangile que vous êtes sauvés si vous le retenez tel que je vous l’ai annoncé ; autrement vous auriez cru en vain.
- Car c’est en lui, c’est dans son corps, qu’habite toute la plénitude de ce qui est en Dieu. Et par votre union avec lui, vous êtes pleinement comblés, car il est le chef de toute Autorité et de toute Puissance.
- Vous aussi, vous avez déjà été purifiés grâce à la parole que je vous ai enseignée.
- Jésus, vous ne l’avez pas vu, et pourtant vous l’aimez ; mais en plaçant votre confiance en lui sans le voir encore, vous êtes remplis d’une joie glorieuse et inexprimable, car vous obtenez en retour votre salut qui est le but de votre foi.
- C’est ainsi que vous êtes sauvés maintenant, vous aussi : ces événements préfiguraient le baptême. Celui-ci ne consiste pas à laver les impuretés du corps, mais à s’engager envers Dieu avec une conscience pure. Tout cela est possible grâce à la résurrection de Jésus-Christ.
- Si vous écoutez attentivement l’Eternel votre Dieu, et si vous faites ce qui est droit à ses yeux, si vous êtes attentifs à ses commandements et si vous obéissez à toutes ses lois, je ne vous infligerai aucune des maladies dont j’ai frappé les Egyptiens ; car je suis l’Eternel qui vous apporte la guérison.
- Ne mettez pas vos membres et organes à la disposition du péché comme des armes au service du mal. Mais puisque vous étiez morts et que vous êtes maintenant vivants, offrez-vous vous-mêmes à Dieu et mettez les membres et organes de votre corps à sa disposition comme des instruments pour faire ce qui est juste.
- Autrefois, certes, vous apparteniez aux ténèbres, mais à présent, par votre union avec le Seigneur, vous appartenez à la lumière. Comportez-vous donc comme des enfants de la lumière.
- L’Eternel sera avec vous |tant que vous serez avec lui ;
si vous vous attachez à lui, |il interviendra en votre faveur ;
si vous l’abandonnez, |lui, il vous abandonnera. - Quand vous priez, si vous avez quoi que ce soit contre quelqu’un, pardonnez-lui, pour que votre Père céleste vous pardonne, lui aussi, vos fautes.
- Mais maintenant, affranchis du péché et devenus esclaves de Dieu, le fruit que vous portez, c’est une vie sainte, et le résultat auquel vous aboutissez, c’est la vie éternelle.
- Frères et sœurs, si quelqu’un s’est laissé surprendre par quelque faute, vous qui vivez selon l’Esprit, ramenez-le dans le droit chemin avec un esprit de douceur. Et toi qui interviens, fais attention de ne pas te laisser toi-même tenter.
- Faites donc vous-mêmes votre propre critique, et examinez-vous, pour voir si vous vivez dans la foi. Ne reconnaissez-vous pas que Jésus-Christ est en vous ? A moins, peut-être, que cet examen n’aboutisse pour vous à un échec.
- Il leur répondit : Ainsi, vous non plus, vous ne comprenez pas ? Ne saisissez-vous pas ce que je veux dire ? De tout ce qui vient du dehors et pénètre dans l’homme, rien ne peut le rendre impur. Tout cela, en effet, ne va pas dans son cœur mais dans son ventre, et est évacué par les voies naturelles. – Il déclarait par là même que tous les aliments sont purs.
- Un jour de sabbat, Jésus enseignait dans une synagogue. Il s’y trouvait une femme qui, depuis dix-huit ans, était sous l’emprise d’un esprit qui la rendait infirme : elle était voûtée et n’arrivait absolument pas à se redresser. Lorsque Jésus la vit, il l’appela et lui dit : Femme, tu es délivrée de ton infirmité !
Il posa ses mains sur elle et, immédiatement, elle se redressa et se mit à louer Dieu.
Mais le responsable de la synagogue fut fâché que Jésus ait fait cette guérison le jour du sabbat. S’adressant à la foule, il lui dit : Il y a six jours pour travailler : venez donc vous faire guérir ces jours-là, mais pas le jour du sabbat !
Le Seigneur lui répondit : Hypocrites que vous êtes ! Chacun de vous ne détache-t-il pas son bœuf ou son âne de la mangeoire pour le mener à l’abreuvoir le jour du sabbat ? Et cette femme, qui est une fille d’Abraham, et que Satan tenait en son pouvoir depuis dix-huit ans, fallait-il ne pas la délivrer de sa chaîne aujourd’hui parce que c’est le jour du sabbat ?
Cette réponse de Jésus remplit de confusion tous ceux qui avaient pris parti contre lui, tandis que le peuple était enthousiasmé de le voir accomplir tant d’œuvres merveilleuses.
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