C’est pourquoi, tenez-vous soigneusement à l’enseignement que vous avez reçu dès le commencement. Si ce que vous avez entendu dès le commencement demeure en vous, vous demeurerez aussi unis au Fils et au Père.
Car Dieu n’est pas injuste au point d’oublier l’activité que vous avez déployée, par amour pour lui, dans les services que vous avez rendus – et que vous rendez encore – à ceux qui font partie du peuple saint.
Ce que vous avez appris et reçu de moi, ce que vous m’avez entendu dire et vu faire, mettez-le en pratique. Alors le Dieu qui donne la paix sera avec vous.
Quant à vous, l’Esprit dont vous avez été oints par Christ demeure en vous. Vous n’avez donc pas besoin que l’on vous instruise, car cet Esprit dont vous avez été oints vous enseigne tout. Il est véridique, il ne ment pas. Restez donc attachés à cet enseignement tel que vous l’avez reçu de l’Esprit.
Il y a un seul corps et un seul Esprit ; de même, Dieu vous a fait venir à lui en vous donnant une seule espérance : celle à laquelle vous avez été appelés.
Car, par la foi en Jésus-Christ, vous êtes tous fils et filles de Dieu. Car vous tous qui avez été baptisés pour Christ, vous vous êtes revêtus de Christ.
Vous, mes enfants, vous êtes de Dieu et vous avez la victoire sur ces prophètes de mensonge, car celui qui est en vous est plus puissant que celui qui inspire ce monde.
Ne rendez pas le mal pour le mal, ni l’injure pour l’injure. Répondez au contraire par la bénédiction, car c’est à cela que vous avez été appelés, afin de recevoir vous-mêmes la bénédiction.
Il a pris nos péchés sur lui et les a portés dans son corps, sur la croix, afin qu’étant morts pour le péché, nous menions une vie juste. Oui, c’est par ses blessures que vous avez été guéris.
Je vous engage instamment, chers frères et sœurs, à prendre garde à ceux qui sèment la division et égarent les autres en s’opposant à l’enseignement que vous avez reçu. Eloignez-vous d’eux.
Que votre conduite ne soit pas guidée par l’amour de l’argent. Contentez-vous de ce que vous avez présentement. Car Dieu lui-même a dit : Je ne te laisserai pas : non, je ne t’abandonnerai jamais.
En effet, vous n’avez pas reçu un Esprit qui fait de vous des esclaves et vous ramène à la crainte : non, vous avez reçu l’Esprit en conséquence de votre adoption par Dieu comme ses fils et ses filles. Car c’est par cet Esprit que nous crions : Abba, c’est-à-dire Père !
Vous avez appris qu’il a été dit : Tu ne commettras pas d’adultère. Eh bien, moi je vous dis : Si quelqu’un jette sur une femme un regard chargé de désir, il a déjà commis adultère avec elle dans son cœur.
Vous aviez projeté de me faire du mal, mais par ce que vous avez fait, Dieu a projeté du bien en vue d’accomplir ce qui se réalise aujourd’hui, pour sauver la vie à un peuple nombreux.
Oui, mes frères et sœurs, vous avez été appelés à la liberté. Seulement, ne faites pas de cette liberté un prétexte pour vivre comme des hommes livrés à eux-mêmes. Au contraire, par amour, mettez-vous au service les uns des autres.
Voyons ! Lorsque Dieu vous donne son Esprit et qu’il accomplit parmi vous des miracles, le fait-il parce que vous obéissez à la Loi ou parce que vous accueillez avec foi l’Evangile que vous avez entendu.
Ou bien encore, ignorez-vous que votre corps est le temple même du Saint-Esprit qui vous a été donné par Dieu et qui, maintenant, demeure en vous ? Vous ne vous appartenez donc pas à vous-mêmes. Car vous avez été rachetés à grand prix. Honorez donc Dieu dans votre corps.