Lorsque les hommes justes |lancent leurs cris vers lui, |l’Eternel les entend ; aussi, il les délivre |de toutes leurs détresses. Car l’Eternel est proche |de ceux qui ont le cœur brisé. Il sauve ceux |qui ont un esprit abattu.
Dieu accorde aux gens seuls |une famille. Il donne aux prisonniers |de sortir libres, dans la joie. Seuls les rebelles |sont confinés |dans un désert aride.
Je resterai le même |jusqu’à votre vieillesse et je vous soutiendrai |jusqu’à vos cheveux blancs. C’est moi qui vous ai soutenus, |et je vous porterai, oui, je vous soutiendrai |et vous délivrerai.
Ainsi le Seigneur sait comment délivrer de l’épreuve les personnes pieuses, et réserver ceux qui font le mal pour le jour du jugement où ils seront châtiés.
Il nous a arrachés au pouvoir des ténèbres et nous a fait passer dans le royaume de son Fils bien-aimé. Etant unis à lui, nous sommes délivrés, car nous avons reçu le pardon des péchés.
Il s’est livré lui-même pour nous, afin de nous délivrer de toute désobéissance et de faire de nous, en nous purifiant ainsi, un peuple qui lui appartienne et qui mette toute son ardeur à accomplir des œuvres bonnes.
Un jour de sabbat, Jésus enseignait dans une synagogue. Il s’y trouvait une femme qui, depuis dix-huit ans, était sous l’emprise d’un esprit qui la rendait infirme : elle était voûtée et n’arrivait absolument pas à se redresser. Lorsque Jésus la vit, il l’appela et lui dit : Femme, tu es délivrée de ton infirmité ! Il posa ses mains sur elle et, immédiatement, elle se redressa et se mit à louer Dieu. Mais le responsable de la synagogue fut fâché que Jésus ait fait cette guérison le jour du sabbat. S’adressant à la foule, il lui dit : Il y a six jours pour travailler : venez donc vous faire guérir ces jours-là, mais pas le jour du sabbat ! Le Seigneur lui répondit : Hypocrites que vous êtes ! Chacun de vous ne détache-t-il pas son bœuf ou son âne de la mangeoire pour le mener à l’abreuvoir le jour du sabbat ? Et cette femme, qui est une fille d’Abraham, et que Satan tenait en son pouvoir depuis dix-huit ans, fallait-il ne pas la délivrer de sa chaîne aujourd’hui parce que c’est le jour du sabbat ? Cette réponse de Jésus remplit de confusion tous ceux qui avaient pris parti contre lui, tandis que le peuple était enthousiasmé de le voir accomplir tant d’œuvres merveilleuses.
Une femme oublie-t-elle |l’enfant qu’elle nourrit ? Cesse-t-elle d’aimer |l’enfant qu’elle a conçu ? Et même si les mères |oubliaient leurs enfants, je ne t’oublierai pas ! Voici, je t’ai gravée |dans le creux de mes mains, je pense constamment |à tes remparts.