Mais toi, quand tu donnes quelque chose aux pauvres, que ta main gauche ne sache pas ce que fait ta main droite. Que ton aumône se fasse ainsi en secret ; et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra.
Car, qui donc suis-je, et qui donc est mon peuple pour avoir les moyens |de t’offrir de tels dons ? Tout cela vient de toi, et c’est de ta main même |que nous avons reçu |ce que nous te donnons.
Père, mon désir est que ceux que tu m’as donnés soient avec moi là où je serai et qu’ils contemplent ma gloire, celle que tu m’as donnée, parce que tu m’as aimé avant la création du monde.
Celui qui fournit la semence au semeur et lui donne le pain dont il se nourrit vous donnera aussi, avec largesse, toute la semence nécessaire et fera croître les fruits de votre générosité.
Oui, parce que tu m’es précieux, et que tu as du prix pour moi, |et que je t’aime, je donnerai des hommes |en échange de toi, et des peuples contre ta vie.
Ainsi vous deviendrez riches de tous les biens et vous pourrez donner largement, ce qui suscitera, chez ceux auxquels nous distribuerons vos dons, de nombreuses prières de reconnaissance envers Dieu.
Moi, je suis le pain vivant descendu du ciel : si quelqu’un mange de ce pain-là, il vivra éternellement. Le pain que je donnerai pour que le monde vive, c’est mon propre corps.
Approchons-nous donc du trône du Dieu de grâce avec une pleine assurance. Là, Dieu nous accordera sa bonté et nous donnera sa grâce pour que nous soyons secourus au bon moment.
Il y a un seul corps et un seul Esprit ; de même, Dieu vous a fait venir à lui en vous donnant une seule espérance : celle à laquelle vous avez été appelés.
Mais le fruit de l’Esprit c’est l’amour, la joie, la paix, la patience, l’amabilité, la bonté, la fidélité, la douceur, la maîtrise de soi. La Loi ne condamne certes pas de telles choses.