Les médisances sont comme des friandises : elles descendent jusqu’au tréfonds de l’être. | Les paroles du critiqueur sont comme des friandises: elles descendent au plus profond de l'être. |
En effet, « c’est en lui que nous avons la vie, le mouvement et l’être », comme l’ont aussi affirmé certains de vos poètes, car « nous sommes ses enfants ». | En effet, c’est en lui que nous avons la vie, le mouvement et l'être, comme l’ont aussi dit quelques-uns de vos poètes: ‘Nous sommes aussi de sa race.’ |
Dieu fait toute chose belle en son temps. Il a implanté au tréfonds de l’être humain le sens de l’éternité, sans toutefois que l’homme puisse appréhender l’œuvre que Dieu accomplit du commencement à la fin. | Il fait toute chose belle au moment voulu. Il a même mis dans leur cœur la pensée de l'éternité, même si l'homme ne peut pas comprendre l'œuvre que Dieu accomplit du début à la fin. |
Que votre parure ne soit pas extérieure : cheveux habilement tressés, bijoux en or, toilettes élégantes, mais la parure cachée de l’être intérieur : la beauté impérissable d’un esprit doux et paisible, à laquelle Dieu attache un grand prix. | Que votre parure ne soit pas une parure extérieure – cheveux tressés, ornements d'or ou vêtements élégants – mais plutôt celle intérieure et cachée du cœur, la pureté incorruptible d'un esprit doux et paisible, qui est d'une grande valeur devant Dieu. |
Le cœur est tortueux |plus que toute autre chose, et il est incurable, qui pourrait le connaître ? Moi, l’Eternel, |moi, je sonde les cœurs, je scrute le tréfonds de l’être pour donner à chacun |ce que lui auront valu sa conduite et les effets |de ses agissements. | Le cœur est tortueux plus que tout, et il est incurable. Qui peut le connaître? Moi, l'Eternel, j’explore le cœur, j’examine les reins pour traiter chacun conformément à sa conduite, au fruit de ses agissements. |
Mais, au commencement de la création, Dieu a créé l’être humain homme et femme. C’est pourquoi l’homme laissera son père et sa mère pour s’attacher à sa femme, et les deux ne feront plus qu’un. Ainsi, ils ne sont plus deux, ils font un. Que l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni. | Mais au commencement de la création, Dieu a fait l'homme et la femme; c'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère et s'attachera à sa femme, et les deux ne feront qu’un. Ainsi, ils ne sont plus deux mais ne font qu’un. Que l'homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni. |
Il leur répondit : N’avez-vous pas lu dans les Ecritures qu’au commencement le Créateur a créé l’être humain homme et femme et qu’il a déclaré : C’est pourquoi l’homme laissera son père et sa mère pour s’attacher à sa femme, et les deux ne feront plus qu’un ? Ainsi, ils ne sont plus deux, ils font un. Que l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni. | Il répondit: «N'avez-vous pas lu que le Créateur, au commencement, a fait l'homme et la femme et qu'il a dit: C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère et s'attachera à sa femme, et les deux ne feront qu’un? Ainsi, ils ne sont plus deux mais ne font qu’un. Que l'homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni.» |