Eh bien, moi je vous dis de ne pas faire de serment du tout. Ne dites pas : « Je le jure par le ciel », car le ciel, c’est le trône de Dieu. Ou : « J’en prends la terre à témoin », car elle est l’escabeau où Dieu pose ses pieds. Ou : « Je le jure par Jérusalem ; », car elle est la ville de Dieu, le grand Roi.
Veillez à ce que personne ne rende le mal pour le mal mais, en toute occasion, recherchez le bien, dans vos rapports mutuels comme envers tous les hommes.
Je demande que le Dieu de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père qui possède la gloire, vous donne, par son Esprit, sagesse et révélation, pour que vous le connaissiez.
Il est lui-même la tête de son corps qui est l’Eglise. Ce Fils est le commencement, le Premier-né de tous ceux qui sont morts, afin qu’en toutes choses il ait le premier rang.
Les vignes sont honteuses et les figuiers s’étiolent, le grenadier et le palmier, |ainsi que le pommier, tous les arbres des champs |sont desséchés. La joie est dans la honte |parmi les hommes.
Ainsi le Seigneur sait comment délivrer de l’épreuve les personnes pieuses, et réserver ceux qui font le mal pour le jour du jugement où ils seront châtiés.
Car le salaire que verse le péché, c’est la mort, mais le don de la grâce que Dieu accorde, c’est la vie éternelle dans l’union avec Jésus-Christ notre Seigneur.
Mais le Défenseur en justice, le Saint-Esprit que le Père enverra en mon nom, vous enseignera toutes choses et vous rappellera tout ce que je vous ai dit moi-même.
Pensez-vous que je prenne le moindre plaisir à voir mourir le méchant ? demande le Seigneur, l’Eternel. Mon désir n’est-il pas plutôt qu’il abandonne sa mauvaise conduite et qu’il vive ?
Le dernier jour de la fête, le jour le plus solennel, Jésus se tint devant la foule et lança à pleine voix : Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi, et que celui qui croit en moi boive.
Oui, parce que tu m’es précieux, et que tu as du prix pour moi, |et que je t’aime, je donnerai des hommes |en échange de toi, et des peuples contre ta vie.