Car le figuier |ne bourgeonnera plus, et il n’y aura plus |de raisins dans les vignes, le fruit de l’olivier |trompera les espoirs, les champs ne produiront |plus de pain à manger. Les moutons et les chèvres |disparaîtront de leurs enclos, et les bovins de leurs étables. Mais moi, c’est à cause de l’Eternel |que je veux me réjouir, j’exulterai de joie |à cause du Dieu qui me sauve.
Ainsi, lorsque tu donnes quelque chose aux pauvres, ne le claironne pas partout. Ce sont les hypocrites qui agissent ainsi dans les synagogues et dans les rues pour que les gens chantent leurs louanges. Vraiment, je vous l’assure : leur récompense, ils l’ont d’ores et déjà reçue.
Voici ce que déclare le Seigneur des armées célestes : Rendez des jugements conformes à la vérité, agissez les uns envers les autres avec amour et compassion. N’exploitez pas la veuve et l’orphelin, ni l’immigré et les démunis, et ne tramez aucun mal les uns contre les autres.
Ainsi, lorsque vous verrez ces franges, vous penserez à tous les commandements de l’Eternel pour les appliquer et vous ne vous égarerez pas en suivant les désirs de votre cœur et de vos yeux qui vous incitent à l’infidélité.
L’Eternel dit à Moïse : Monte vers moi sur la montagne et tiens-toi là. Je te donnerai les tables de pierre sur lesquelles j’ai transcrit la Loi et les commandements pour que tu les enseignes au peuple.
Car les yeux du Seigneur |se tournent vers les justes : son oreille est tendue |pour écouter leur prière. Mais le Seigneur s’oppose |à ceux qui font le mal.
Que l’amour et la fidélité ne te fassent jamais défaut ; attache-les autour de ton cou, grave-les sur les tablettes de ton cœur, et tu obtiendras la faveur de Dieu et des hommes, tu auras la réputation d’être un homme de bon sens.
Lorsque les hommes justes |lancent leurs cris vers lui, |l’Eternel les entend ; aussi, il les délivre |de toutes leurs détresses. Car l’Eternel est proche |de ceux qui ont le cœur brisé. Il sauve ceux |qui ont un esprit abattu.
Cessons donc de nous condamner les uns les autres. Prenez plutôt la décision de ne rien mettre en travers du chemin d’un frère qui puisse le faire trébucher ou tomber.