Tu m’as fait ce que je suis, et tu m’as tissé |dans le ventre de ma mère. Je te loue |d’avoir fait de moi |une créature |aussi merveilleuse : tu fais des merveilles, et je le reconnais bien.
C’est toi, Dieu de mes pères, que je célèbre et que je loue, tu m’as rempli |de sagesse et de force et tu m’as fait connaître |ce que nous t’avons demandé, tu nous as révélé |ce que le roi demande.
Maintenant, moi, Nabuchodonosor, je loue, j’exalte et je glorifie le Roi des cieux, car il agit en accord avec ses paroles et tout ce qu’il fait est juste, il a le pouvoir d’abaisser ceux qui vivent dans l’orgueil.
O Eternel, tu es mon Dieu, je te glorifierai |et je louerai ton nom car tu as accompli |des projets merveilleux, conçus de longue date, |sûrs et fiables.
Chantez à Dieu ! |Louez-le par vos chants ! Frayez la voie |de celui qui chevauche les nuées ! Son nom est « l’Eternel ». Exultez de joie devant lui ! Il est le père |des orphelins, |le défenseur des veuves. Oui, tel est Dieu |dans sa sainte demeure.
Un jour de sabbat, Jésus enseignait dans une synagogue. Il s’y trouvait une femme qui, depuis dix-huit ans, était sous l’emprise d’un esprit qui la rendait infirme : elle était voûtée et n’arrivait absolument pas à se redresser. Lorsque Jésus la vit, il l’appela et lui dit : Femme, tu es délivrée de ton infirmité ! Il posa ses mains sur elle et, immédiatement, elle se redressa et se mit à louer Dieu. Mais le responsable de la synagogue fut fâché que Jésus ait fait cette guérison le jour du sabbat. S’adressant à la foule, il lui dit : Il y a six jours pour travailler : venez donc vous faire guérir ces jours-là, mais pas le jour du sabbat ! Le Seigneur lui répondit : Hypocrites que vous êtes ! Chacun de vous ne détache-t-il pas son bœuf ou son âne de la mangeoire pour le mener à l’abreuvoir le jour du sabbat ? Et cette femme, qui est une fille d’Abraham, et que Satan tenait en son pouvoir depuis dix-huit ans, fallait-il ne pas la délivrer de sa chaîne aujourd’hui parce que c’est le jour du sabbat ? Cette réponse de Jésus remplit de confusion tous ceux qui avaient pris parti contre lui, tandis que le peuple était enthousiasmé de le voir accomplir tant d’œuvres merveilleuses.
Voici, nous montons à Jérusalem. Le Fils de l’homme y sera livré aux chefs des prêtres et aux spécialistes de la Loi. Ils le condamneront à mort, et le remettront entre les mains des païens pour qu’ils se moquent de lui, le battent à coups de fouet et le clouent sur une croix. Puis, le troisième jour, il ressuscitera.
Allez donc apprendre quel est le sens de cette parole : Ce que je veux, c’est la compassion bien plus que les sacrifices. Car je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs.
L’un de vous est-il malade ? Qu’il appelle les responsables de l’Eglise, qui prieront pour lui, après lui avoir fait une onction d’huile au nom du Seigneur. La prière faite avec foi obtiendra la guérison du malade et le Seigneur le relèvera. S’il a commis quelque péché, il lui sera pardonné.