Où pourrais-je aller |loin de ton Esprit ? Où pourrais-je fuir |hors de ta présence ? Si je monte au ciel |tu es là, et si je descends |au séjour des morts, |t’y voilà !
Que dire maintenant ? Persisterons-nous dans le péché pour que la grâce abonde ? Loin de là ! Puisque nous sommes morts pour le péché, comment pourrions-nous vivre encore dans le péché ?
Pourtant moi, l’Eternel, |je suis ton Dieu depuis l’Egypte et, en dehors de moi, |tu ne connais pas d’autre Dieu, il n’y a pas d’autre Sauveur que moi.
Et pourtant, Eternel, |toi, tu es notre père. Nous, nous sommes l’argile, et tu es le potier |qui nous a façonnés : nous sommes tous l’ouvrage |que tes mains ont formé.
Quelqu’un, dit l’Eternel, |pourrait-il se cacher |dans un endroit secret sans que moi, je le voie ? Ne suis-je pas celui |qui remplit ciel et terre ? demande l’Eternel.
Un homme seul est facilement maîtrisé par un adversaire, mais à deux ils pourront tenir tête à celui-ci. Et une corde faite de trois cordelettes tressées n’est pas vite rompue.
Pourtant, en vérité, |c’est de nos maladies |qu’il s’est chargé, et ce sont nos souffrances |qu’il a prises sur lui, alors que nous pensions |que Dieu l’avait puni, frappé et humilié.
Et pourtant, l’Eternel attend |le moment de vous faire grâce et il se lèvera |pour vous manifester |sa compassion, car l’Eternel est un Dieu juste. Heureux tous ceux |qui se confient en lui !
Le corps humain forme un tout, et pourtant il a beaucoup d’organes. Et tous ces organes, dans leur multiplicité, ne constituent qu’un seul corps. Il en va de même pour ceux qui sont unis à Christ.
Toi donc, qui que tu sois, qui condamnes autrui, tu n’as aucune excuse, car en condamnant les autres, tu te condamnes toi-même, puisque toi qui les condamnes, tu te conduis comme eux.
Qui s’abrite auprès du Très-Haut, repose sous la protection |du Tout-Puissant. Je dis à l’Eternel : |« Tu es mon refuge et ma forteresse, mon Dieu en qui je me confie ! »