Pourtant, en vérité, |c’est de nos maladies |qu’il s’est chargé, et ce sont nos souffrances |qu’il a prises sur lui, alors que nous pensions |que Dieu l’avait puni, frappé et humilié.
Le corps humain forme un tout, et pourtant il a beaucoup d’organes. Et tous ces organes, dans leur multiplicité, ne constituent qu’un seul corps. Il en va de même pour ceux qui sont unis à Christ.
Pourtant moi, l’Eternel, |je suis ton Dieu depuis l’Egypte et, en dehors de moi, |tu ne connais pas d’autre Dieu, il n’y a pas d’autre Sauveur que moi.
Et pourtant, Eternel, |toi, tu es notre père. Nous, nous sommes l’argile, et tu es le potier |qui nous a façonnés : nous sommes tous l’ouvrage |que tes mains ont formé.
Et pourtant, l’Eternel attend |le moment de vous faire grâce et il se lèvera |pour vous manifester |sa compassion, car l’Eternel est un Dieu juste. Heureux tous ceux |qui se confient en lui !
Pourtant, c’est la vérité que je vais vous dire : il vaut mieux pour vous que je m’en aille. En effet, si je ne m’en vais pas, le Défenseur en justice ne viendra pas à vous. Mais si je m’en vais, alors je vous l’enverrai.
Tous les athlètes s’imposent une discipline sévère dans tous les domaines pour recevoir une couronne, qui pourtant sera bien vite fanée, alors que nous, nous aspirons à une couronne qui ne se flétrira jamais.
Ne vend-on pas cinq moineaux pour deux sous ? Et pourtant, Dieu prend soin de chacun d’eux. Bien plus : même les cheveux de votre tête sont comptés. N’ayez aucune crainte, car vous avez plus de valeur que toute une volée de moineaux.
Jésus, vous ne l’avez pas vu, et pourtant vous l’aimez ; mais en plaçant votre confiance en lui sans le voir encore, vous êtes remplis d’une joie glorieuse et inexprimable, car vous obtenez en retour votre salut qui est le but de votre foi.
On nous croit affligés, et nous sommes toujours joyeux, pauvres, et nous faisons beaucoup de riches, dépourvus de tout, alors que tout nous appartient.
Ne vend-on pas une paire de moineaux pour un sou ? Et pourtant, pas un seul d’entre eux ne tombe à terre sans le consentement de votre Père. Quant à vous, même les cheveux de votre tête sont tous comptés. N’ayez donc aucune crainte, car vous, vous avez plus de valeur que toute une volée de moineaux.
Ayez les uns pour les autres une égale considération. Ne visez pas à ce qui est trop haut, mais laissez-vous attirer par ce qui est humble. Ne vous prenez pas pour des sages.
Ne vous mettez en souci pour rien, mais, en toute chose, exposez vos demandes à Dieu en lui adressant vos prières et vos supplications, tout en lui exprimant votre reconnaissance. Alors la paix de Dieu, qui surpasse tout ce qu’on peut concevoir, gardera votre cœur et votre pensée sous la protection de Jésus-Christ.