Alors que nous étions ses ennemis, Dieu nous a réconciliés avec lui par la mort de son Fils ; à plus forte raison, maintenant que nous sommes réconciliés, serons-nous sauvés par sa vie.
Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, car il nous a comblés de toute bénédiction de l’Esprit dans le monde céleste en raison de notre union avec Christ.
Si donc, tout mauvais que vous êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison le Père céleste donnera-t-il l’Esprit Saint à ceux qui le lui demandent.
Car c’est par grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Cela ne vient pas de vous, c’est un don de Dieu ; ce n’est pas le fruit d’œuvres que vous auriez accomplies. Personne n’a donc de raison de se vanter.
Pour cette raison même, faites tous vos efforts pour ajouter à votre foi la vertu, à la vertu la connaissance, à la connaissance la maîtrise de soi, à la maîtrise de soi l’endurance dans l’épreuve, à l’endurance la piété, à la piété l’affection fraternelle, et à l’affection fraternelle l’amour.
Mais Dieu a été compatissant envers moi pour cette raison : Jésus-Christ a voulu, en moi, l’exemple type des pécheurs, montrer toute l’étendue de sa patience, pour que je serve d’exemple à ceux qui croiraient en lui pour accéder à la vie éternelle.
Mais il y a une différence entre la faute et le don de la grâce ! En effet, si la faute d’un seul a eu pour conséquence la mort de beaucoup, à bien plus forte raison la grâce de Dieu, don gratuit qui vient d’un seul homme, Jésus-Christ, a surabondé pour beaucoup.
Leur rendent la pureté extérieure. Mais Christ s’est offert lui-même à Dieu, sous la conduite de l’Esprit éternel, comme une victime sans défaut. A combien plus forte raison, par conséquent, son sang purifiera-t-il notre conscience des œuvres qui mènent à la mort afin que nous servions le Dieu vivant.
Je vous recommande donc, frères et sœurs, à cause de cette immense bonté de Dieu, à lui offrir votre corps comme un sacrifice vivant, saint et qui plaise à Dieu. Ce sera là de votre part un culte raisonnable.
Dans votre cœur, reconnaissez le Seigneur – c’est-à-dire Christ – comme saint ; si l’on vous demande de justifier votre espérance, soyez toujours prêts à la défendre.
Supportez-vous les uns les autres, et si l’un de vous a quelque chose à reprocher à un autre, pardonnez-vous mutuellement ; le Seigneur vous a pardonné : vous aussi, pardonnez-vous de la même manière.
Lorsqu’un homme vient de se marier, il sera dispensé du service militaire et on ne le chargera d’aucune obligation particulière ; il restera disponible pour son foyer pendant un an, et fera la joie de la femme qu’il aura épousée.
Mais Dieu est riche en bonté. Aussi, à cause du grand amour dont il nous a aimés, alors que nous étions morts à cause de nos fautes, il nous a fait revivre les uns et les autres avec Christ. – C’est par la grâce que vous êtes sauvés.
C’est pour les mêmes raisons que vous devez payer vos impôts. Car ceux qui les perçoivent sont eux aussi au service de Dieu, dans l’exercice de leurs fonctions.
Oui, ils ont délibérément échangé la vérité concernant Dieu contre le mensonge, ils ont adoré la créature et lui ont rendu un culte, au lieu du Créateur, lui qui est béni éternellement. Amen ! Voilà pourquoi Dieu les a abandonnés à des passions avilissantes : leurs femmes ont renoncé aux relations sexuelles naturelles pour se livrer à des pratiques contre nature. Les hommes, de même, délaissant les rapports naturels avec le sexe féminin, se sont enflammés de désir les uns pour les autres ; ils ont commis entre hommes des actes honteux et ont reçu en leur personne le salaire que méritaient leurs égarements. Ils n’ont pas jugé bon de connaître Dieu, c’est pourquoi Dieu les a abandonnés à leur pensée faussée, si bien qu’ils font ce qu’on ne doit pas.