Pourtant moi, l’Eternel, |je suis ton Dieu depuis l’Egypte et, en dehors de moi, |tu ne connais pas d’autre Dieu, il n’y a pas d’autre Sauveur que moi.
Au contraire, progressez sans cesse dans la grâce et dans la connaissance de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ. A lui soit la gloire dès maintenant et pour l’éternité. Amen.
Vous femmes, en particulier, chacune à son mari, et cela par égard pour le Seigneur. Le mari, en effet, est le chef de sa femme comme Christ est la tête, le chef de l’Eglise qui est son corps et dont il est le Sauveur.
Voici en quoi consiste l’amour : ce n’est pas nous qui avons aimé Dieu, mais c’est lui qui nous a aimés ; aussi a-t-il envoyé son Fils pour expier nos péchés.
Je t’aime, ô Eternel, ma force ! L’Eternel est ma forteresse, |mon rocher, mon libérateur. Il est mon Dieu, le roc solide |où je me réfugie. Il est mon Sauveur tout-puissant, |mon rempart et mon bouclier.
Aux esclaves, tu recommanderas d’être soumis à leurs maîtres en toutes choses. Qu’ils cherchent à leur donner satisfaction, qu’ils évitent de les contredire et se gardent de toute fraude ; qu’ils se montrent au contraire dignes d’une entière confiance. Ainsi ils rendront attrayant l’enseignement de Dieu notre Sauveur.
C’est pourquoi, frères et sœurs, puisque Dieu vous a appelés et choisis, faites d’autant plus d’efforts pour confirmer cet appel et ce choix : car si vous agissez ainsi, vous ne tomberez jamais. Ainsi vous seront grandes ouvertes les portes du royaume éternel de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ.
Lui qui était de condition divine, ne chercha pas à profiter de l’égalité avec Dieu, mais il s’est dépouillé lui-même, et il a pris la condition d’un serviteur en se rendant semblable aux hommes : se trouvant ainsi reconnu à son aspect, comme un simple homme, il s’abaissa lui-même en devenant obéissant, jusqu’à subir la mort, oui, la mort sur la croix.
Ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi. Ma vie en tant qu’homme, je la vis maintenant dans la foi au Fils de Dieu qui, par amour pour moi, s’est livré à la mort à ma place.
Tous ont péché, en effet, et sont privés de la gloire de Dieu, et ils sont déclarés justes par sa grâce ; c’est un don que Dieu leur fait par le moyen de la délivrance apportée par Jésus-Christ.
Voilà pourquoi il est en mesure de sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu par lui, puisqu’il est toujours vivant pour intercéder en leur faveur auprès de Dieu.
En Christ, parce qu’il s’est offert en sacrifice, nous avons obtenu la délivrance, le pardon de nos fautes. Dieu a ainsi manifesté sa grâce dans toute sa richesse.
Vous avez été libérés de cette manière futile de vivre que vous ont transmise vos ancêtres et vous savez à quel prix. Ce n’est pas par des biens périssables comme l’argent et l’or. Non, il a fallu que Christ, tel un agneau pur et sans défaut, verse son sang précieux en sacrifice pour vous.
Gardons les yeux fixés sur Jésus, qui nous a ouvert le chemin de la foi et qui la porte à la perfection. Parce qu’il avait en vue la joie qui lui était réservée, il a enduré la mort sur la croix, en méprisant la honte attachée à un tel supplice, et désormais il siège à la droite du trône de Dieu.
Alors que nous étions ses ennemis, Dieu nous a réconciliés avec lui par la mort de son Fils ; à plus forte raison, maintenant que nous sommes réconciliés, serons-nous sauvés par sa vie.
Et veillons les uns sur les autres pour nous encourager mutuellement à l’amour et à la pratique du bien. Ne délaissons pas nos réunions, comme certains en ont pris l’habitude. Au contraire, encourageons-nous mutuellement, et cela d’autant plus que vous voyez se rapprocher le jour du Seigneur.