Aujourd'hui, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur qui est le Messie, le Seigneur. | Un Sauveur vous est né aujourd’hui dans la ville de David ; c’est lui le Messie, le Seigneur. |
Moi, je suis l'Eternel, ton Dieu depuis l'Egypte. Tu ne connaîtras pas d'autre Dieu que moi, et il n'y a pas d'autre sauveur que moi. | Pourtant moi, l’Eternel, |je suis ton Dieu depuis l’Egypte et, en dehors de moi, |tu ne connais pas d’autre Dieu, il n’y a pas d’autre Sauveur que moi. |
Mais grandissez dans la grâce et dans la connaissance de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ. A lui soit la gloire, maintenant et pour l'éternité! Amen! | Au contraire, progressez sans cesse dans la grâce et dans la connaissance de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ. A lui soit la gloire dès maintenant et pour l’éternité. Amen. |
Quant à nous, notre droit de cité est dans le ciel, d'où nous attendons aussi comme Sauveur le Seigneur Jésus-Christ. | Quant à nous, nous sommes citoyens des cieux : de là, nous attendons ardemment la venue du Seigneur Jésus-Christ pour nous sauver. |
Femmes, soumettez-vous à votre mari comme au Seigneur, car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l'Eglise qui est son corps et dont il est le Sauveur. | Vous femmes, en particulier, chacune à son mari, et cela par égard pour le Seigneur. Le mari, en effet, est le chef de sa femme comme Christ est la tête, le chef de l’Eglise qui est son corps et dont il est le Sauveur. |
Et cet amour consiste non pas dans le fait que nous, nous avons aimé Dieu, mais dans le fait que lui nous a aimés et a envoyé son Fils comme victime expiatoire pour nos péchés. | Voici en quoi consiste l’amour : ce n’est pas nous qui avons aimé Dieu, mais c’est lui qui nous a aimés ; aussi a-t-il envoyé son Fils pour expier nos péchés. |
Encourage les esclaves à se soumettre à leurs maîtres, à leur être agréables en tout, à ne pas les contredire ni commettre le moindre vol, mais à se montrer toujours dignes de confiance, afin d’honorer pleinement la doctrine de Dieu notre Sauveur. | Aux esclaves, tu recommanderas d’être soumis à leurs maîtres en toutes choses. Qu’ils cherchent à leur donner satisfaction, qu’ils évitent de les contredire et se gardent de toute fraude ; qu’ils se montrent au contraire dignes d’une entière confiance. Ainsi ils rendront attrayant l’enseignement de Dieu notre Sauveur. |
Pour ma part, je sais que celui qui me rachète est vivant et qu'il se lèvera le dernier sur la terre. | Mais je sais, moi, |que mon défenseur est vivant : en dernier lieu |il surgira sur la poussière. |
C'est pourquoi, frères et sœurs, appliquez-vous d'autant plus à affermir l’appel et le choix dont vous avez été l’objet, car si vous faites cela, vous ne trébucherez jamais. C'est ainsi en effet que l'entrée dans le royaume éternel de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ vous sera largement accordée. | C’est pourquoi, frères et sœurs, puisque Dieu vous a appelés et choisis, faites d’autant plus d’efforts pour confirmer cet appel et ce choix : car si vous agissez ainsi, vous ne tomberez jamais. Ainsi vous seront grandes ouvertes les portes du royaume éternel de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ. |
Il est lui-même la victime expiatoire pour nos péchés, et non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier. | Car il a expié nos péchés, et pas seulement les nôtres, mais ceux de gens du monde entier. |
Lui qui est de condition divine, il n'a pas regardé son égalité avec Dieu comme un butin à préserver, mais il s'est dépouillé lui-même en prenant une condition de serviteur, en devenant semblable aux êtres humains. Reconnu comme un simple homme, il s'est humilié lui-même en faisant preuve d’obéissance jusqu'à la mort, même la mort sur la croix. | Lui qui était de condition divine, ne chercha pas à profiter de l’égalité avec Dieu, mais il s’est dépouillé lui-même, et il a pris la condition d’un serviteur en se rendant semblable aux hommes : se trouvant ainsi reconnu à son aspect, comme un simple homme, il s’abaissa lui-même en devenant obéissant, jusqu’à subir la mort, oui, la mort sur la croix. |
J'ai été crucifié avec Christ; ce n'est plus moi qui vis, c'est Christ qui vit en moi; et ce que je vis maintenant dans mon corps, je le vis dans la foi au Fils de Dieu qui m'a aimé et qui s'est donné lui-même pour moi. | Ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi. Ma vie en tant qu’homme, je la vis maintenant dans la foi au Fils de Dieu qui, par amour pour moi, s’est livré à la mort à ma place. |
Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu, et ils sont gratuitement déclarés justes par sa grâce, par le moyen de la libération qui se trouve en Jésus-Christ. | Tous ont péché, en effet, et sont privés de la gloire de Dieu, et ils sont déclarés justes par sa grâce ; c’est un don que Dieu leur fait par le moyen de la délivrance apportée par Jésus-Christ. |
Oui, c’est lui mon rocher et mon salut, ma forteresse: je ne serai pas ébranlé. | Pour sûr, lui seul est mon rocher, |et mon Sauveur, ma forteresse, |je ne serai pas ébranlé. |
Par conséquent, il peut aussi sauver parfaitement ceux qui s'approchent de Dieu à travers lui, puisqu’il est toujours vivant pour intercéder en leur faveur. | Voilà pourquoi il est en mesure de sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu par lui, puisqu’il est toujours vivant pour intercéder en leur faveur auprès de Dieu. |
Oui, c’est lui mon rocher et mon salut, ma forteresse: je ne serai guère ébranlé. | Pour sûr, lui seul est mon rocher, |et mon Sauveur ; il est ma forteresse : |je ne serai pas ébranlé. |
En lui, par son sang, nous sommes rachetés, pardonnés de nos fautes, conformément à la richesse de sa grâce. | En Christ, parce qu’il s’est offert en sacrifice, nous avons obtenu la délivrance, le pardon de nos fautes. Dieu a ainsi manifesté sa grâce dans toute sa richesse. |
Béni soit le Seigneur chaque jour! Dieu porte nos fardeaux, il nous sauve. – Pause. | Béni soit le Seigneur |jour après jour, car il nous prend en charge, |ce Dieu qui est notre sauveur. Pause |
Vous le savez en effet, ce n'est pas par des choses corruptibles comme l'argent ou l'or que vous avez été rachetés de la manière de vivre dépourvue de sens que vous avaient transmise vos ancêtres, mais par le sang précieux de Christ, qui s’est sacrifié comme un agneau sans défaut et sans tache. | Vous avez été libérés de cette manière futile de vivre que vous ont transmise vos ancêtres et vous savez à quel prix. Ce n’est pas par des biens périssables comme l’argent et l’or. Non, il a fallu que Christ, tel un agneau pur et sans défaut, verse son sang précieux en sacrifice pour vous. |
Secours-nous, Dieu de notre salut, pour la gloire de ton nom! Délivre-nous et pardonne nos péchés, à cause de ton nom! | Accorde-nous ton aide, |ô Dieu, notre Sauveur, pour l’honneur de ton nom ! Délivre-nous, pardonne nos péchés à cause de ce que tu es ! |
Faisons-le en gardant les regards sur Jésus, qui fait naître la foi et la mène à la perfection. En échange de la joie qui lui était réservée, il a souffert la croix en méprisant la honte qui s’y attachait et il s’est assis à la droite du trône de Dieu. | Gardons les yeux fixés sur Jésus, qui nous a ouvert le chemin de la foi et qui la porte à la perfection. Parce qu’il avait en vue la joie qui lui était réservée, il a enduré la mort sur la croix, en méprisant la honte attachée à un tel supplice, et désormais il siège à la droite du trône de Dieu. |
Pourquoi être abattue, mon âme, et pourquoi gémir en moi? Espère en Dieu, car je le louerai encore! Il est mon salut et mon Dieu. | Pourquoi donc, ô mon âme, |es-tu si abattue, |et gémis-tu sur moi ? Mets ton espoir en Dieu ! |Je le louerai encore, mon Sauveur et mon Dieu. |
L’Eternel est ma lumière et mon salut: de qui aurais-je peur? L’Eternel est le soutien de ma vie: qui devrais-je redouter? | Oui, l’Eternel est ma lumière |et mon Sauveur : de qui aurais-je crainte ? L’Eternel est ma forteresse : |il protège ma vie ; de qui aurais-je peur ? |
Et parfaitement qualifié, il est devenu pour tous ceux qui lui obéissent l'auteur d'un salut éternel. | Et c’est parce qu’il a été ainsi amené à la perfection qu’il est devenu, pour tous ceux qui lui obéissent, l’auteur d’un salut éternel. |
Je t’aime, Eternel, ma force, Eternel, mon rocher, ma forteresse, mon libérateur, mon Dieu, mon rocher où je trouve un abri, mon bouclier, la force qui me sauve, mon rempart! | Je t’aime, ô Eternel, ma force ! L’Eternel est ma forteresse, |mon rocher, mon libérateur. Il est mon Dieu, le roc solide |où je me réfugie. Il est mon Sauveur tout-puissant, |mon rempart et mon bouclier. |