Entrez par la porte étroite ; en effet, large est la porte et spacieuse la route qui mènent à la perdition. Nombreux sont ceux qui s’y engagent. Mais étroite est la porte et resserré le sentier qui mènent à la vie ! Qu’ils sont peu nombreux ceux qui les trouvent !
Car l’Eternel aime la droiture, et il n’abandonne pas |ceux qui lui sont attachés ; mais les malfaisants |seront supprimés, la postérité |de tous les méchants |sera retranchée.
Pourtant, en vérité, |c’est de nos maladies |qu’il s’est chargé, et ce sont nos souffrances |qu’il a prises sur lui, alors que nous pensions |que Dieu l’avait puni, frappé et humilié.
Ils vous disaient : « A la fin des temps viendront des gens qui se moqueront de Dieu et qui vivront au gré de leurs propres désirs, sans aucun respect pour Dieu. » Ce sont de tels gens qui causent des divisions, des gens sans Dieu qui n’ont pas l’Esprit.
Car pour ceux qui sont unis à Jésus-Christ, ce qui importe, ce n’est pas d’être circoncis ou incirconcis, c’est d’avoir la foi, une foi qui agit par amour.
Qui donc est assez sage pour comprendre ces choses, assez intelligent |pour les connaître ? Les voies que l’Eternel prescrit sont droites, les justes les suivront, tandis que les rebelles |trébucheront sur elles.
D’un côté, l’Eternel |est lent à la colère, sa puissance est immense, mais il ne laisse pas |le coupable impuni. L’Eternel fraie sa route |dans l’ouragan et la tempête, et les nuées sont la poussière |que soulèvent ses pieds.
J’ai aussi constaté que tout labeur et que toute habileté que les hommes mettent à leurs œuvres sont motivés par la rivalité des uns envers les autres. Cela aussi est dérisoire : autant courir après le vent.
Ne vend-on pas cinq moineaux pour deux sous ? Et pourtant, Dieu prend soin de chacun d’eux. Bien plus : même les cheveux de votre tête sont comptés. N’ayez aucune crainte, car vous avez plus de valeur que toute une volée de moineaux.
Maintenant donc, il n’y a plus de condamnation pour ceux qui sont unis à Jésus-Christ. Car la loi de l’Esprit qui nous donne la vie dans l’union avec Jésus-Christ t’a libéré de la loi du péché et de la mort.
Il est lui-même la tête de son corps qui est l’Eglise. Ce Fils est le commencement, le Premier-né de tous ceux qui sont morts, afin qu’en toutes choses il ait le premier rang.
Car moi je connais les projets que j’ai conçus en votre faveur, déclare l’Eternel : ce sont des projets de paix et non de malheur, afin de vous assurer un avenir plein d’espérance.
Les coutumes des autres peuples |sont inutiles, leur dieu n’est que du bois |coupé dans la forêt, travaillé au ciseau |par la main d’un sculpteur. On l’embellit d’argent ou d’or, un marteau et des clous |le font tenir en place pour qu’il ne branle pas ! Ces dieux-là sont semblables |à des épouvantails |dans un champ de concombres : ils ne savent parler, il faut qu’on les transporte car ils ne marchent pas. Ne les craignez donc pas : ils ne font pas de mal ; et ils ne peuvent pas |non plus faire du bien.
Alors l’Eternel dit à l’Accusateur : Tous ses biens sont en ton pouvoir, ainsi que les siens, mais ne porte pas la main sur sa personne ! Alors l’Accusateur se retira de la présence de l’Eternel.
Mets-moi comme un sceau sur ton cœur, comme un sceau sur ton bras. L’amour est fort |comme la mort, et la passion |est inflexible |comme le séjour des défunts. Les flammes de l’amour |sont des flammes ardentes, une flamme venant de l’Eternel.
Le corps humain forme un tout, et pourtant il a beaucoup d’organes. Et tous ces organes, dans leur multiplicité, ne constituent qu’un seul corps. Il en va de même pour ceux qui sont unis à Christ.
Ne vend-on pas une paire de moineaux pour un sou ? Et pourtant, pas un seul d’entre eux ne tombe à terre sans le consentement de votre Père. Quant à vous, même les cheveux de votre tête sont tous comptés. N’ayez donc aucune crainte, car vous, vous avez plus de valeur que toute une volée de moineaux.
Mais, au commencement de la création, Dieu a créé l’être humain homme et femme. C’est pourquoi l’homme laissera son père et sa mère pour s’attacher à sa femme, et les deux ne feront plus qu’un. Ainsi, ils ne sont plus deux, ils font un. Que l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni.
Voilà que je m’en vais par le chemin que prend tout être humain. Reconnaissez de tout votre cœur et de tout votre être qu’aucune des promesses de bienfaits que l’Eternel votre Dieu vous a faites n’est restée sans effet : elles se sont toutes accomplies pour vous, sans exception aucune.
En effet, l’amour de Christ nous étreint, car nous avons acquis la certitude qu’un seul homme est mort pour tous : donc tous sont morts en lui. Et il est mort pour tous afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour celui qui est mort à leur place et ressuscité pour eux.
Quant à l’immoralité et aux pratiques dégradantes sous toutes leurs formes, et à la soif de posséder, qu’il n’en soit pas même question entre vous : ce ne sont pas des sujets de conversation qui conviennent aux membres du peuple saint.