Vraiment, je vous l’assure, répondit Jésus, si vous avez la foi, si vous ne doutez pas, non seulement vous pourrez accomplir ce que j’ai fait à ce figuier, mais même si vous dites à cette colline : « Soulève-toi de là et jette-toi dans la mer », cela se fera.
Je t’ai donné cet ordre : Prends courage et tiens bon, ne crains rien et ne te laisse pas effrayer, car moi, l’Eternel ton Dieu, je serai avec toi pour tout ce que tu entreprendras.
Que l’Eternel te bénisse et te protège ! Que l’Eternel te regarde avec bonté ! |Et qu’il te fasse grâce ! Que l’Eternel veille sur toi |et t’accorde la paix !
Par conséquent, si ton œil droit te fait tomber dans le péché, arrache-le et jette-le au loin, car il vaut mieux pour toi perdre un de tes organes que de voir ton corps entier précipité en enfer.
Observe le jour du sabbat et fais-en un jour consacré à l’Eternel, comme l’Eternel ton Dieu te l’a commandé. Tu travailleras six jours pour faire tout ce que tu as à faire. Mais le septième jour est le jour du repos consacré à l’Eternel ton Dieu ; tu ne feras aucun travail ce jour-là, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bœuf, ni ton âne, ni tout ton bétail, ni l’étranger qui réside chez toi, afin que ton serviteur et ta servante se reposent comme toi.
Ne te prends pas pour un sage, crains l’Eternel et détourne-toi du mal. Ce sera une bonne médecine qui t’assurera la santé du corps et la vitalité de tout ton être.
Tressaille d’allégresse, ô communauté de Sion ! Pousse des cris de joie, ô communauté de Jérusalem ! Car ton roi vient vers toi, il est juste et sauvé, humilié, monté sur un âne, sur un ânon, |le petit d’une ânesse.
Et c’est de toi que viennent |la richesse et la gloire. Tu domines sur tout et dans ta main résident |la force et la puissance, tu détiens le pouvoir |d’élever qui tu veux |et de le rendre fort.
Combien est grande la bonté que tu tiens en réserve |en faveur de ceux qui te craignent, et que tu viens répandre, |sur ceux qui s’abritent en toi, au vu de tous les hommes.
Une femme oublie-t-elle |l’enfant qu’elle nourrit ? Cesse-t-elle d’aimer |l’enfant qu’elle a conçu ? Et même si les mères |oubliaient leurs enfants, je ne t’oublierai pas ! Voici, je t’ai gravée |dans le creux de mes mains, je pense constamment |à tes remparts.