Nous le savons, en effet : si notre demeure, cette tente que nous habitons sur la terre, vient à être détruite, nous avons au ciel une maison que Dieu nous a préparée, une habitation éternelle qui n’est pas l’œuvre de l’homme.
Il faut cependant, frères et sœurs, que je vous adresse une recommandation instante, et c’est au nom de notre Seigneur Jésus-Christ que je le fais. Vivez tous ensemble en pleine harmonie ! Ne laissez pas de division s’introduire entre vous ! Soyez parfaitement unis en ayant une même conviction, une même façon de penser !
En effet, ce n’est pas par une volonté humaine qu’une prophétie a jamais été apportée, mais c’est portés par le Saint-Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu.
Mais vous, vous êtes un peuple élu, une communauté de rois-prêtres, une nation sainte, un peuple que Dieu a pris pour sien, pour que vous célébriez bien haut les œuvres merveilleuses de celui qui vous a appelés à passer des ténèbres à son admirable lumière.
Il y a un seul corps et un seul Esprit ; de même, Dieu vous a fait venir à lui en vous donnant une seule espérance : celle à laquelle vous avez été appelés.
Jean portait un vêtement de poils de chameau maintenu autour de la taille par une ceinture de cuir. Il se nourrissait de sauterelles et de miel sauvage.
Ainsi, si quelqu’un est uni à Christ, il appartient à une nouvelle création : les choses anciennes sont passées : voici, les choses nouvelles sont venues.
Or, sans la foi, il est impossible de lui être agréable. Car celui qui s’approche de Dieu doit croire qu’il existe et qu’il récompense ceux qui se tournent vers lui.
Mais ceux qui comptent |sur l’Eternel |renouvellent leur force : ils prennent leur envol |comme de jeunes aigles ; sans se lasser, ils courent, ils marchent en avant, |et ne s’épuisent pas.