Vous agirez ainsi en hommes libres, sans faire pour autant de votre liberté un voile pour couvrir une mauvaise conduite, car vous êtes des serviteurs de Dieu.
Si quelqu’un veut être à mon service, qu’il me suive. Là où je serai, mon serviteur y sera aussi. Si quelqu’un est à mon service, le Père lui fera honneur.
C’est pour vous, en premier lieu, que Dieu a ressuscité son serviteur ; et il vous l’a envoyé pour vous bénir, en détournant chacun de vous de ses mauvaises actions.
Si quelqu’un pèche en faisant sans le savoir l’une des choses que l’Eternel a interdites dans ses commandements, il sera tenu pour coupable et portera la responsabilité de sa faute.
Car Dieu n’est pas injuste au point d’oublier l’activité que vous avez déployée, par amour pour lui, dans les services que vous avez rendus – et que vous rendez encore – à ceux qui font partie du peuple saint.
Tu ne convoiteras pas la maison de ton prochain, tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni rien qui appartienne à ton prochain.
Qui es-tu, toi, pour juger le serviteur d’un autre ? Qu’il tienne bon ou qu’il tombe, c’est l’affaire de son maître. Mais il tiendra bon car le Seigneur, son maître, a le pouvoir de le faire tenir.
Qu’il n’en soit pas ainsi parmi vous. Au contraire : si quelqu’un veut être grand parmi vous, qu’il soit votre serviteur, si quelqu’un veut être le premier parmi vous, qu’il soit votre esclave.
Si vous suivez mes ordonnances, si vous obéissez à mes commandements et si vous les appliquez, je vous donnerai vos pluies en leur saison, la terre livrera ses produits et les vergers donneront leurs fruits.
Qu’en pensez-vous maintenant ? Est-ce la faveur des hommes que je recherche ou celle de Dieu ? Mon désir est-il de plaire aux hommes ? Si je cherchais encore à plaire aux hommes, je ne serais pas serviteur de Christ.
Le jeûne qui me plaît est celui qui consiste |à détacher les liens |de la méchanceté, à délier les courroies |de toute servitude, à mettre en liberté |tous ceux que l’on opprime et à briser |toute espèce de joug.
Toute arme fabriquée |pour te faire du mal n’atteindra pas son but, et tu pourras confondre tous tes accusateurs |en jugement, car tel est l’apanage |des serviteurs de l’Eternel et c’est ainsi |que je leur fais justice, l’Eternel le déclare.
Très bien, lui dit son maître, tu es un bon serviteur, en qui l’on peut avoir confiance. Tu t’es montré fidèle en peu de choses. C’est pourquoi je t’en confierai de plus importantes. Viens partager la joie de ton maître !
Moïse demeura là avec l’Eternel quarante jours et quarante nuits, sans rien manger ni boire, et l’Eternel écrivit sur les tablettes les paroles de l’alliance, les dix commandements.
Durant six jours on fera son travail, mais le septième jour est un sabbat, un jour de repos ; il y aura une assemblée cultuelle et vous ne ferez aucun travail ce jour-là, c’est un sabbat en l’honneur de l’Eternel partout où vous habiterez.
Observe le jour du sabbat et fais-en un jour consacré à l’Eternel, comme l’Eternel ton Dieu te l’a commandé. Tu travailleras six jours pour faire tout ce que tu as à faire. Mais le septième jour est le jour du repos consacré à l’Eternel ton Dieu ; tu ne feras aucun travail ce jour-là, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bœuf, ni ton âne, ni tout ton bétail, ni l’étranger qui réside chez toi, afin que ton serviteur et ta servante se reposent comme toi.
Tu ne haïras pas ton frère dans ton cœur, mais tu ne manqueras pas de reprendre ton prochain pour ne pas te charger d’un péché. Tu ne te vengeras pas et tu ne garderas pas de rancune envers les membres de ton peuple, mais tu aimeras ton prochain comme toi-même. Je suis l’Eternel.
Seulement, veillez bien à appliquer le commandement et la Loi que Moïse, serviteur de l’Eternel, vous a transmis : aimez l’Eternel, votre Dieu ! Suivez tous les chemins qu’il a prescrits pour vous, obéissez à ses commandements, attachez-vous à lui et servez-le de tout votre cœur et de tout votre être !
Lui qui était de condition divine, ne chercha pas à profiter de l’égalité avec Dieu, mais il s’est dépouillé lui-même, et il a pris la condition d’un serviteur en se rendant semblable aux hommes : se trouvant ainsi reconnu à son aspect, comme un simple homme, il s’abaissa lui-même en devenant obéissant, jusqu’à subir la mort, oui, la mort sur la croix.
Aux esclaves, tu recommanderas d’être soumis à leurs maîtres en toutes choses. Qu’ils cherchent à leur donner satisfaction, qu’ils évitent de les contredire et se gardent de toute fraude ; qu’ils se montrent au contraire dignes d’une entière confiance. Ainsi ils rendront attrayant l’enseignement de Dieu notre Sauveur.
Pense à observer le jour du sabbat et fais-en un jour consacré à l’Eternel. Tu travailleras six jours pour faire tout ce que tu as à faire. Mais le septième jour est le jour du repos consacré à l’Eternel, ton Dieu ; tu ne feras aucun travail ce jour-là, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l’étranger qui réside chez toi ; car en six jours, l’Eternel a fait le ciel, la terre, la mer, et tout ce qui s’y trouve, mais le septième jour, il s’est reposé. C’est pourquoi l’Eternel a béni le jour du sabbat et en a fait un jour qui lui est consacré.
Je vous donnerai un cœur nouveau et je mettrai en vous un esprit nouveau, j’enlèverai de votre être votre cœur de pierre et je vous donnerai un cœur de chair.