Qui es-tu pour juger le serviteur d'un autre? Qu'il tienne bon ou qu'il tombe, cela regarde son seigneur. Mais il tiendra bon, car Dieu a le pouvoir de l'affermir.
Et même, si un homme a reçu de Dieu des richesses et des biens, s'il lui a donné le pouvoir d'en manger, d'en prendre sa part et de se réjouir au milieu de son travail, c'est un cadeau de Dieu.
Heureux et saints ceux qui ont part à la première résurrection! La seconde mort n'a pas de pouvoir sur eux, mais ils seront prêtres de Dieu et de Christ et ils régneront avec lui pendant 1000 ans.
Donc, lorsque tu fais un don à quelqu'un, ne sonne pas de la trompette devant toi, comme le font les hypocrites dans les synagogues et dans les rues afin de recevoir la gloire qui vient des hommes. Je vous le dis en vérité, ils ont leur récompense.
C'est de toi que viennent la richesse et l’honneur, c'est toi qui domines sur tout, c'est dans ta main que sont la force et la puissance, et c'est ta main qui a le pouvoir de tout agrandir et de tout fortifier.
Lorsque quelqu'un péchera en faisant sans le savoir, contre l'un des commandements de l'Eternel, des choses qui ne doivent pas se faire, il se rendra coupable et sera chargé de sa faute.
C'est moi, c'est moi qui vous console. Qui es-tu pour avoir peur de l'homme, alors qu’il va mourir, et du fils de l'homme, dont le sort est pareil à celui de l'herbe?
Heureux l'homme qui tient bon face à la tentation car, après avoir fait ses preuves, il recevra la couronne de la vie que le Seigneur a promise à ceux qui l'aiment.
Ensuite il prit du pain et, après avoir remercié Dieu, il le rompit et le leur donna en disant: «Ceci est mon corps qui est donné pour vous. Faites ceci en souvenir de moi.»
Jésus enseignait dans une des synagogues, le jour du sabbat. Or il y avait là une femme habitée par un esprit qui la rendait infirme depuis 18 ans; elle était courbée et ne pouvait pas du tout se redresser. Lorsqu'il la vit, Jésus lui adressa la parole et lui dit: «Femme, tu es délivrée de ton infirmité.» Il posa les mains sur elle; immédiatement elle se redressa, et elle se mit à célébrer la gloire de Dieu. Mais le chef de la synagogue, indigné de ce que Jésus avait fait une guérison un jour de sabbat, dit à la foule: «Il y a six jours pour travailler, venez donc vous faire guérir ces jours-là et non pas le jour du sabbat.» Le Seigneur lui répondit en ces termes: «Hypocrites! Le jour du sabbat, chacun de vous ne détache-t-il pas son bœuf ou son âne de la mangeoire pour le mener boire? Et cette femme, qui est une fille d'Abraham et que Satan tenait attachée depuis 18 ans, ne fallait-il pas la délivrer de cette chaîne le jour du sabbat?» Ces paroles remplirent de honte tous ses adversaires, et la foule entière se réjouissait de toutes les merveilles qu'il faisait.
Il en va de même pour ma parole, celle qui sort de ma bouche: elle ne revient pas à moi sans effet, sans avoir fait ce que je désire et rempli la mission que je lui ai confiée.
Maris, aimez votre femme comme Christ a aimé l'Eglise. Il s'est donné lui-même pour elle afin de la conduire à la sainteté après l'avoir purifiée et lavée par l'eau de la parole.
Je sais vivre dans la pauvreté et je sais vivre dans l'abondance. Partout et en toutes circonstances j'ai appris à être rassasié et à avoir faim, à être dans l'abondance et à être dans le besoin.
Par la grâce qui m'a été donnée, je dis à chacun de vous de ne pas avoir une trop haute opinion de lui-même, mais de garder des sentiments modestes, chacun selon la mesure de foi que Dieu lui a donnée.
C'est aussi par la foi que Sara elle-même a été rendue capable d'avoir une descendance. Malgré son âge avancé, elle a donné naissance à un enfant parce qu'elle a cru à la fidélité de celui qui avait fait la promesse.
Jésus répondit: «Je vous le dis en vérité, personne n'aura quitté à cause de moi et à cause de la bonne nouvelle sa maison ou ses frères, ses sœurs, sa mère, son père, sa femme, ses enfants ou ses terres, sans recevoir au centuple, dans le temps présent, des maisons, des frères, des sœurs, des mères, des enfants et des terres, avec des persécutions et, dans le monde à venir, la vie éternelle.»
Le Fils est le reflet de sa gloire et l'expression de sa personne, il soutient tout par sa parole puissante. Après avoir accompli au travers de lui-même la purification de nos péchés, il s'est assis à la droite de la majesté divine dans les lieux très hauts.
Mais, grâce à l'aide de Dieu, j'ai continué jusqu'à aujourd’hui de rendre témoignage devant les petits et les grands. Je ne dis rien d’autre que ce que les prophètes et Moïse ont déclaré devoir arriver: que le Messie souffrirait, qu’il serait le premier à ressusciter et qu’il annoncerait la lumière au peuple juif et aux non-Juifs.
C'est pourquoi, laissant les bases de l’enseignement relatif au Messie, tendons vers la maturité sans avoir à reposer le fondement du renoncement aux œuvres mortes, de la foi en Dieu, de l'enseignement concernant les baptêmes et l'imposition des mains, de la résurrection des morts et du jugement éternel.
Pierre lui dit: «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? S'il n'avait pas été vendu, ne te restait-il pas? Et, après l'avoir vendu, n'avais-tu pas le droit de disposer du prix? Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»